Le blog de cocusuissege
Pour ceux qui connaissent Fuerteventura, les dunes au nord de l’iles offrent un paysage idylliques.
La mer est agitée. Les rouleaux se fracassent sur les rochers de laves ou s’écrasent sur la plage de sable fin. Le vent est omni présent. Il vous oblige à vous abriter dans des petites tours que d’autres vacanciers ont construits avec des rochers de lave. Les murs sont plus ou moins hauts de quelques 10cm à 1m20 pour les exceptions. La circonférence laisse la place généralement pour deux adultes allongés.
Les petites dunes coutes, en forme de grand monticule, font souvent face à ses constructions. Elles souvent recouvert de petits végétaux.
Karine et moi, avons réussi à trouver une tour libre dans la région où les petits monticules de sables sont proches les uns des autres. La marche dans le sable blanc nous a donné envie de nous reposer.
Nous nous installons confortablement, dans notre repère. Les murs ne sont pas très hauts, et il faut installer un par-vent.
Dans le plus simple appareil, nous nous allongeons sur nos serviettes de plage. Notre position nous permet d’observer le passage répété d’homme en quête d’autre homme.
Cette faune homosexuelle rend ma Karine boudeuse….Ce n’est pas le lieu que nous avions imaginé pour des moments coquins.
Faisant bon cœur, mauvaise fortune, nous alternons les baignades, et les siestes au soleil.
La plage se vide tôt. Dès 4h, les quelques couples sont partis, et la majorité des hommes aussi.
Nous nous sentons esseulés.
Karine est assise à 90% de moi qui suit allongé sur le sol. Avec ses pieds, elle commence à jouer avec mon sexe. Délicatement, elle commence à me masturber avec ses pieds. Je réagis immédiatement, pose ma revue et regarde la moue rieuse de ma belle. Mon sexe en érection trahit mon émoi et mon excitation. Je me mets sur le flanc, du coté de mon épouse, cachant ainsi l’objet du délit. Les passants ne devraient voir que mes fesses.
Karine s’amuse de la situation. Son sourire se fait de plus en plus enjôleur. Ne voulant pas jouir immédiatement, je lui demande de ralentir la masturbation.
Elle m’avertit qu’un homme, légèrement barbu, la trentaine, plutôt bien fait de sa personne, a remarqué notre manège. Il a fait demi-tour, et vient s’assoir sur le monticule de sable, dominant ainsi notre espace.
Karine me demande de me mettre à plat. Elle reprend du bout de ses pieds, la masturbation. Mon sexe érigé, les mouvements des pieds de ma belle, ne peut échapper au regard de l’homme. Karine, me commente les gestes de notre voyeur, mais m’interdit de le regarder. Il s’est mis nu et lui montre son sexe. Pour toute réponse, Karine lui sourit, et écarte un peu ses jambes. Je lui demande d’écarter plus les jambes. Ma femme me réprime sèchement que je ne dois pas intervenir. Elle s’arrête de me branler juste avant que l’orgasme me saisisse.
Karine me demande alors de chercher une autre tour, plus discrète. Le message est clair. Karine veut s’abandonner dans les bras de l’individu.
C’est avec un pincement en cœur, un peu triste mais avec une érection non dissimulée, que je quitte le refuge. Je zigzague entre les dunes et les tours pour essayer de trouver le lieu qui devrait abriter les ébats des deux coquins. Je repasse souvent dans le champ de vision de notre voyeur. Je reste immobile, quand je le vois se lever et se diriger vers notre tour.
Je m’empresse de m’approcher moi aussi. Je dois contourner une dune assez grande pour arriver sans les déranger. Les hommes me regardent avec mépris et ricanement. Ils ont vu la situation et ont compris ce qui se trame.. Je refuse d’y prêter attention.
J arrive essoufflé sur une grande butte de sable proche de notre tour. Je m’accroupis pour voir ma belle, la tête en arrière. La main de son partenaire semble être entre ses jambes. Visiblement, il n’a pas perdu de temps. De voyeur, il est devenu, chasseur. Il a sa proie. L’orgueil du mâle se devine. Karine ne reste pas inactive. Sa main masturbe son amant.
Il lui parle à l’oreille. Karine se redresse un peu, s’assoit sur le coté et se penche pour avaler le sexe tendu de son amant. Je ne vois plus que la tête de mon épouse descendre et monter au gré de la fellation qu’elle prodigue. J’ai envie de jouir. Mon sexe coule.
Je m’éloigne pour chercher cette tour, pour la suite des événements.
J’en ai enfin trouvé un, un peu éloigné du notre. Je reviens en courant, mais retrouve ma femme allongée seule.
-« Il est parti travaillé. Il reviendra demain. Il voulait m’enculer devant tout le monde. J’ai préféré repousser à demain. Viens à coté de moi, j’ai une surprise pour toi. » me dit Karine
Je m’installe à ses cotés. Je remarque la longue trainée brillante sur la cuisse.
Elle me tend un mouchoir, plein de sperme, qu’elle me badigeonne sous le nez.
-« sens le sperme de mon amant, respires bien »
Je humais. Pendant ce temps Karine écrit en grosse lettre au dessus de mon sexe épilé le mot « Cocu ». J’ai traversé toute la plage et suis passé devant tous les hommes , nu et fier de mon statu
En rentrant à l’Hôtel, Karine m’a remis ma cage de chasteté en vu des jours à suivre