Karine est partie avec son amant sans même me voir.

Je suis resté dans ce bar en buvant plus que nécessaire des vins chauds. Tout ce qui se passait autour de moi, n’avait que peu d’importance.

Je devais attendre que le couple puisse arriver dans l’appartement que nous avons loué. , Le couple et quel couple !!! Une belle femme, la mienne et un homme grand, bronzé, d’allure sportive sans excès.

Plus d’une heure et demi après le départ, je pris moi aussi le chemin de notre logement.

Le cœur battant, j’essayais d’ouvrir la parte le plus doucement possible sans faire du bruit.

Depuis le couloir d’entrée, j entendais des soupirs rauques. Je devais passer devant notre chambre, enfin, maintenant leur chambre, pour atteindre le salon et ma future nouvelle chambre.

Karine avait laissé la porte de leur chambre entrouverte. Je savais qu’elle l’avait fait à dessein pour moi.

Je m’approchais sur la pointe des pieds. J’ai commencé à mater comme un gamin par l’entrebâillement. L’homme était assis sur le bord du lit et ma femme à ses genoux. Sa tête allait d’avant en arrière arrachant des soupirs de bien être à son partenaire. Inutile de faire une longue explication de la situation. Karine s’éloigna du sexe pour mieux le regarder, tout comme moi qui admirait les bonnes proportions sans être extrême.

Mon sexe, gorgé de sang, remplissait toute ma cage de chasteté. Mon gland coulait, tachant mon caleçon.

L homme se retira pour éjaculer sur les seins de Karine. Il essuya vulgairement son gland encore humide sur les joues de sa partenaire.

Avant qu’elle se redresse, je suis parti dans le salon.

5 minutes après, Karine en jupe courte et chemisier blanc, arriva dans le salon suivi de son acolyte. Elle me présenta comme un ami homosexuel, ce qui me surprit car d’habitude, je suis présenté comme le mari cocu, ce qui m’humilie d’avantage.

Son comparse, Stéphane, se crut bon d’ajouter. « Dommage que tu ne sois pas hétéro, c’est une superbe salope qui aime le cul et la bite ».

« Si tu savais, crétin » pensais je au fond de moi.

Karine me demanda de préparer l’apéro et le repas. Mais qu’avait elle encore imaginer pour me présenter comme un ami ?

Assis dans le canapé, Karine se lova dans les bras de Stéphane, les jambes posées sur ses jambes.

Karine embrassa goulument Stéphane, tout en jouant avec les mamelons de celui-ci. Stéphane n’était pas en reste. Une main caressait les cheveux de Karine alors que l’autre main plus audacieuse, fouillait sous mes yeux Karine. Elle entrouvrit, plus grand les jambes, m’exposant ainsi impudiquement les grandes lèvres de son sexe entourant les doigts de Stéphane.

Karine gémissait de plus en plus. Elle se contracta et jouit en silence. Stéphane retira ses doigts mouillés de cyprine en sifflant d’admiration. Le compliment fut à la hauteur de sa rusticité, selon moi. « Putain, belle salope »

Malgré tout, je ne débandais pas dans ma cage de chasteté......

A suivre