Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 18:00

DSCN0409bSurprise

 

Alors que je suis occupé à analyser des données financières, le téléphone sonne. Ma tendre moitié, d’une voix enjouée s’enquière de ma santé et de mon humeur.  Je

Je réponds laconiquement et distraitement, toujours préoccupé par mon travail. En fait je ne prête qu’une oreille peu attentive.

Ma dulcinée met fin à la conversation :

 «Tu n’as pas écouté. Tant pis pour toi, tu auras une surprise ce soir. Je t’aime Bisous »

Je repose le combiné un peu intrigué. Je me replonge immédiatement dans mes chiffres et oublie vite cette discussion. L’après midi passe vite, tout absorbé à ma tache.

 

Je rentre un peu tard à la maison pour retrouver mon épouse. Karine est une superbe femme, mince, aux longues jambes.  Son corps parfait avec ses petits seins, sa belle chute de rein, son sourire enjôleur, me rendent  fou de bonheur.

Quelque soit sa tenue vestimentaire, elle attire le regard des hommes. Perchée sur ses hauts talons aiguilles, elle se joue de leur désir, de leur regard envieux….

 

Je pousse la porte d’entrée. La maison me semble bien silencieuse. Je découvre une enveloppe posée sur le secrétaire. Je reconnais  l’écriture de Karine. Inquiet, j’ouvre fébrilement l’enveloppe.  Au dos d’une carte postale coquine est écrit un mot à l’encre bleue :

 

« Chut !!!! Vas te déshabiller dans la chambre,  enfonces toi le Plug que je t’ai préparé. Mets toi un collier avec haine autour du cou et surtout mets bien le bandeau sur les yeux et attends »

 

Fébrile d’excitation, je m’empressais de m’exécuter. Les vêtements furent enlevés à grande vitesse. Je bandais dans ma cage de chasteté. (Cela fait presque deux ans que je porte plus ou moins régulièrement une cage de chasteté, au gré du bon vouloir de Karine. Je lui ai offert ma sexualité et ma jouissance. Karine dispose de moi comme un bon petit soumis.)

 

Mon imagination galopait. J’imaginais ma belle transformée en Domina, prête à me fouetter, me torturer mes seins…

Après un long moment, j’entendis le bruit d’une clé que l’on enfonce dans la serrure de la porte d’entrée. Mon cœur s’accéléra. Les bruits de pas me maintenaient en haleine.

Et enfin la porte qui s’ouvre.

-          « Bonsoir, j’ai une belle surprise pour toi. Approches toi à 4 pattes»

Je m’approchais maladroitement.

-          « Enlèves to masque « me dit-elle

J’obéis. Un instant ébloui, je remarquai en premier le visage radieux de ma belle. Sa main droite s’agitait. Mon regard fut immédiatement  attiré par le préservatif qu’elle faisait tournoyer. L’extrémité était blanche, laissant imaginer sans hésitation qu’il était rempli  de sperme.

-          « Alors petit cocu, qu’est qu’on dit à sa petite femme qui vient de jouir »

Je restais abasourdi. Aucun son ne sortait de ma bouche. Mon érection, confinée par la cage, trahissait mon trouble interne.

-          « Fais pas cette tête, vient me lécher le sexe. J’ai encore envie de jouir » me taquina Karine.

Je m’approchais de ce sexe que j’avais tant de fois vénéré. Ma langue s’infiltra entre les lèvres. Je m’appliquais à la lécher, comme si je voulais la nettoyer. Son sexe sentait encore le latex. Il n’était pas complètement refermé, témoin des assauts récents qui avaient du faire chavirer ma belle dans le plaisir. J’avais envie de la faire jouir, moi aussi, petit coq prétentieux. Je m’appliquais. Karine jouit en criant Jean-Christophe.

Karine repris vite son ton enjoué.

-          « Pauvre petit cocu, Jean-Christophe ne veut pas que je t’enlèves ta cage. Il veut que je garde en moi l’odeur de sa peau. Pas de  jouissance ce soir, pour un soumis.. Tu devras donc garder ta cage.

-          « Par contre, enchaina – t-elle, je te fais un cadeau. Fermes les yeux »

Karine déversa le contenu de la capote sur mon visage, m’interdisant de m’essuyer. Le sperme sentait fort.

Karine me raconta comment elle l’avait connu, pendant que je l’écoutais à ses pieds. Le sperme séchant peu à peu sur mon visage, me faisait comme une seconde peau.

 

-          « Je suis allée au centre commercial. Je choisissais  des vêtements, une belle jupe blanche pour les vacances. Commenca – t elle

Un Homme de 35-40 ans, plutôt distingué malgré sa tenue décontractée, m’aborda. Il souhaitait offrir une robe à sa femme. J’avais la même taille. Il me demandait de l’aider.

La technique de drague était classique. Mais son attitude si sincère et sa gaucheriem’ avaient donné l’envie de continuer le jeu.

Je me suis dirigée vers les cabines.  J’essayais une robe quand mon inconnu se manifesta de l’autre coté du rideau. Il me demandait avec une maladresse touchante d’essayer la robe pour sa femme. J’ai hésité puis finalement accepté. J étais en petite tenue, quand il entrouvrit le rideau. Le coquin s’excusa. Il pensait que j’ avais revêtu la robe. Il mit beaucoup de temps pour refermer le rideau. Il profitait de l’instant pour m’ admirer. Je me suis amusé à bien me cambrer les reins, Je voulais qu’il admire mes  fesses et mon string blanc , qu’il lorgne mes seins dans mon soutien gorge assorti. J en rajoutais même par diverses postures aguicheuses.

Je dois avouer que j’étais troublée. Cette situation me plaisait de plus en plus. Je m’amusais de l’effet sur cet inconnu. Je tissais ma toile comme une araignée qui sait que sa proie va tomber dedans

J’ai enlevé  le soutien gorge pour essayer la robe. La finesse du tissu et le décolleté de la robe laissaient complaisamment entrevoir mes seins. Cela devrait avoir raison de mon prétendant.

Quand j’ ouvris la cabine, je suis allé vers  lui en virevoltant, laissant mon prétendant devenir cramoisi. Il lorgnait sans pudeur dans mon décolleté, envoyant une onde magnétique forte dans mon bas ventre. Je devais me reprendre. Je suis vite rentrée dans la cabine, me suis  changée et en lui donnant la robe lui dit au revoir.

 

Le bel inconnu s’empressa et finalement couru vers moi  pour me proposer un verre pour me remercier en s excusant pour son attitude. J’ai su à cet instant que tu seras cocu. Je le voulais inconsciemment.

Après une courte hésitation feinte, j’ai  accepté. L’inconnu se présenta. Jean –Christophe, vigile du centre, il travaillait la nuit.

Il me parla  longtemps. Jean-Christophe voulut me raccompagner jusqu’à ma voiture, dans le parking souterrain.

Arrivés devant la porte de ma voiture, il me plaqua contre la voiture et ml’embrassa sauvagement. Je n’ai  pas cherché à me débattre. Je lui ait même  rendu avec passion son baiser. Je sentais que je mouillais quand il pressa contre mon pubis, son sexe gonflé. Il me palpait les seins avec douceur. Je lui caressais sa bosse.

Il me chuchota de venir avec lui. Nous courûmes presque jusqu’à la voiture de Jean-Christophe. Il conduisait nerveusement, une main sur ma cuisse,  remontant  jusqu’à mon string. J’ écartais les jambes au maximum. Je lui caressai le bras tendrement.

Jean- Christophe s’est  garé dans une allée du bois attenant le centre. Une fois sorti de la voiture, Il m’a pris dans ses bras et m’a embrassé de nouveau. Il m’a bientôt poussé à me mettre à genoux. Je me suis accroupi, et j’ai sorti de son logement un sexe déjà bandé. Je l’ai pris en bouche pendant qu’il me tenait les cheveux. Il m’a fait me relevé pour ne pas  jouir.

Il m’a ensuite retournée, appuyée sur le capot, a enfilé un préservatif  et s’est enfoncé dans ma chatte comme un hussard, me pilonnant avec vigueur. Pour une fois, j’ai  aimé ce coté bestiale de l’étreinte aussi  brève soit elle.. Nous avons jouit  l’un après l’autre.

En me raccompagnant à ma voiture, il m’ a offert la robe destinée à sa femme…. »DSC 1762 2 2

Par cocusuissege - Publié dans : Cocu
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Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 17:21

Pour ceux qui connaissent Fuerteventura, les dunes au nord de l’iles offrent un paysage idylliques.

La mer est agitée. Les rouleaux se fracassent sur les rochers de laves ou s’écrasent sur la plage de sable fin. Le vent est omni présent. Il vous oblige à vous abriter dans des petites tours que d’autres vacanciers ont construits avec des rochers de lave. Les murs sont plus ou moins hauts de quelques 10cm à 1m20 pour les exceptions. La circonférence laisse la place généralement pour deux adultes allongés.

Les petites dunes coutes, en forme de grand monticule,  font souvent face à ses constructions. Elles souvent recouvert de petits végétaux.

 

Karine et moi, avons réussi à trouver une tour libre dans la région  où les petits monticules de sables sont proches les uns des autres. La marche dans le sable blanc nous a donné envie de nous reposer.

 

Nous nous installons confortablement, dans notre repère. Les murs ne sont pas très hauts, et il faut installer un par-vent.

Dans le plus simple appareil, nous nous allongeons sur nos serviettes de plage. Notre position nous permet d’observer le passage répété  d’homme en quête d’autre homme.

Cette faune homosexuelle rend ma Karine boudeuse….Ce n’est pas le lieu que nous avions imaginé pour des moments coquins.

Faisant bon cœur, mauvaise fortune, nous alternons les baignades, et les siestes au soleil.

 

La plage se vide tôt. Dès 4h, les quelques couples sont partis, et la majorité des hommes aussi.

Nous nous sentons esseulés.

Karine est assise à 90% de moi qui suit allongé sur le sol. Avec ses pieds, elle commence à jouer avec mon sexe. Délicatement, elle commence à me masturber avec ses pieds. Je réagis immédiatement, pose ma revue et regarde la moue rieuse de ma belle. Mon sexe en érection trahit mon émoi et mon excitation. Je me mets  sur le flanc, du coté de mon épouse, cachant ainsi l’objet du délit. Les passants ne devraient voir que mes fesses.

 

Karine s’amuse de la situation. Son sourire se fait de plus en plus enjôleur. Ne voulant pas jouir immédiatement, je lui demande de ralentir la masturbation.

Elle m’avertit qu’un homme, légèrement barbu, la trentaine, plutôt bien fait de sa personne, a remarqué notre manège. Il a fait demi-tour, et vient s’assoir sur le monticule de sable, dominant ainsi notre espace.

Karine me demande de me mettre à plat. Elle  reprend du bout de ses pieds, la masturbation. Mon sexe érigé, les mouvements des pieds de ma belle, ne peut échapper au regard de l’homme. Karine, me commente les gestes de notre voyeur, mais m’interdit de le regarder. Il s’est mis nu et lui montre son sexe. Pour toute réponse, Karine lui sourit, et écarte un peu ses jambes. Je lui demande d’écarter plus les jambes. Ma femme me réprime sèchement que je ne dois pas intervenir. Elle s’arrête de me branler juste avant que l’orgasme me saisisse.

Karine me demande alors de chercher une autre tour, plus discrète. Le message est clair. Karine veut s’abandonner dans les bras de l’individu.

C’est avec  un pincement en cœur, un peu triste mais avec une érection non dissimulée, que je quitte le refuge. Je zigzague entre les dunes et les tours pour essayer de trouver le lieu qui devrait abriter les ébats des deux coquins. Je repasse souvent dans le champ de vision de notre voyeur. Je reste immobile, quand je le vois se lever et se diriger vers notre tour.

Je m’empresse de m’approcher moi aussi. Je dois contourner une dune assez grande pour arriver sans les déranger. Les hommes me regardent avec mépris et ricanement. Ils ont vu la situation et ont compris ce qui se trame.. Je refuse d’y prêter attention.

J arrive essoufflé sur une grande butte de sable proche de notre tour. Je m’accroupis pour voir ma belle, la tête en arrière. La main de son partenaire semble être entre ses jambes.  Visiblement, il n’a pas perdu de temps. De voyeur, il est devenu, chasseur. Il a sa proie. L’orgueil du mâle se devine. Karine ne reste pas inactive. Sa main masturbe son amant.

Il lui parle à l’oreille. Karine se redresse un peu, s’assoit sur le coté et se penche pour avaler le sexe tendu de son amant. Je ne vois plus que la tête de mon épouse descendre et monter au gré de la fellation qu’elle prodigue. J’ai envie de jouir. Mon sexe coule.

Je m’éloigne pour chercher cette tour, pour la suite des événements.

J’en ai enfin trouvé un, un peu éloigné du notre. Je reviens en courant, mais retrouve ma femme allongée seule.

-« Il est parti travaillé. Il reviendra demain. Il voulait m’enculer devant tout le monde. J’ai préféré repousser à demain. Viens à coté de moi, j’ai une surprise pour toi. » me dit Karine

DSC_1762_2_2.JPGJe m’installe à ses cotés. Je remarque la longue trainée brillante sur la cuisse.

Elle me tend un mouchoir, plein de sperme, qu’elle me badigeonne sous le nez.

-«  sens le sperme de mon amant, respires bien »

Je humais. Pendant ce temps Karine écrit en grosse lettre au dessus de mon sexe épilé le mot « Cocu ». J’ai traversé toute la plage et suis passé devant tous les hommes , nu et fier de mon statu

 

En rentrant à l’Hôtel, Karine m’a remis ma cage de chasteté en vu des jours à suivre


Par cocusuissege - Publié dans : Cocu en vacances - Communauté : Le club des cocus...
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