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COCU SUISSE DE GENEVE
Tu étais rentrée plus tôt du bureau. Je m’acharnai sur mon ordinateur à résoudre un problème de formule. Nerveux, je n’avais été guère tendre avec toi quand tu m’avais demandé pour la deuxième fois si j'en avais encore pour longtemps avec les reproches usuels comme quoi j’aurais pu te prévenir plus tôt…. Bref tu étais partie fâchée avec comme seul mot « si j'étais toi, je rentrerai plus tôt… ».
Sur le moment je n’avais pas prêté attention à tes paroles. Plus l’heure avançait, plus la vérité s’annonçait que je ne réussirais pas à finir ce soir. En pliant bagage, je ressassais ta dernière phrase. Que voulais tu dire ?
Je me hâtais vers la maison.
En arrivant, je ne vis pas ta voiture. Une sourde inquiétude me nouait l’estomac. Fébrilement, j’engageais la clé dans la serrure. La main tremblante, j'entrais en t’appelant. Seule la chatte me répondit. La lumière de notre chambre était allumée. J'entrais quasiment en courrant. J’eu le souffle coupé en franchissant le seuil. Une grande enveloppe blanche était posée en évidence sur le lit. Je déchirais le papier avec une vitesse inouïe et commença la lecture.
« Mon Amour,
Comme tu ne sais pas t’occuper de moi, j’ai décidé qu’un autre se chargerait de me donner du plaisir ce soir. Ne m’attends donc pas pour manger. Le frigo est suffisamment plein pour que tu puisses te nourrir.
Ce soir j’entends me donner pleinement….je te raconterai à mon retour et je suis sûre que cela te fera bander plus que dans nos histoires…
En attendant mon retour, je veux que tu ailles dans le bureau. Tu y trouveras plein de tes jouets. Je veux que tu les mettes tous. Je les ai choisi pour toi. Ne me déçois pas. Tu verras j’ai mis plein de plugs dont un très gros. Utilise-les tous à tour de rôle et fais comme tu veux mais quand je rentrerai je te veux avec le plus gros dans les fesses.
Je suis sûre que tu réussiras à t'attacher seul. Je te veux à quatre pattes les fesses en l’air, sur le pouf rouge, les fesses tournées vers les escaliers. Arranges toi pour mettre tous les poids possibles à tes testicules et seins. Bien sur tu n’oublieras pas le bandeau….
Mets un Dvd porno à la télé. Le son te donnera bien des idées et tu pourras m’imaginer jouissant…
Pense bien à ta petite chérie qui reviendra te faire lécher le sperme qui dégoulinera de tous ses orifices.
Je t’aime
Mes yeux s’étaient embués durant la lecture. Je pleurais comme un enfant. Je repris la lecture une nouvelle fois.
J’étais rassuré sur un point. Tu m’aimais et n’étais pas partie pour un autre. Plus je me repassais la lettre plus j’étais partagé entre la jalousie, la haine et l’amour. En descendant au bureau, je vis tout le matériel exposé bien en ordre.
Je me dépêchais de nourrir la chatte. Tout mon esprit était tourné vers toi. Mon imagination te projetait dans des mouvements de corps enlacés, de baisers passionnés. J’imaginais ton corps se tordre de plaisir, ton abandon aux caresses, ta jouissance.
En me déshabillant, je te devinais dans des étreintes torrides…et je bandais. Curieux mélange d’envie et de jalousie. Te savoir désirée relançait la compétition, l’envie de te garder….
C’est donc nerveusement, le sexe en érection, que je m'harnachais avec ce vêtement en cuir. Je pris soin de bien m’attacher le sexe, de passer le collier de cuir, les bracelets aux chevilles et aux poignets. Les couilles reçurent les poids demandés avec le cock ring. J’avais pris soin de bien les séparer avec une cordelette. Je me mis le bâillon boule dans la bouche
C’est avec la corde et les plugs que je partis m’installer. Apres avoir bien lubrifié mon orifice, je commençais à m’introduire le premier plug. Il est en plastic. Je me suis amusé à le faire entrer et sortir en moi comme un sexe en imaginant que tu subissais le même traitement. Puis je pris le deuxième en acier. L’introduction fut plus longue…je ne débandais pas. Quand je pris le god bleu, je sus qu il fallait bien me détendre. J’ai poussé tant que j’ai pu, écarté mes fesses aux maximum….J’avais l’impression qu'il me déchirait. Je me souvenais des fois où tu me l’introduisais en me traitant de petite pute qui devrait s’habituer à un sexe de noir……Lorsqu’il fut en moi, je me mis à quatre pattes, attachais le plug pour l’empêcher de sortir. Mes testicules étaient remontées par derrière avec une corde reliée à mon collier de cou. Mes seins supportaient assez bien les poids qui les tiraient vers le bas. Le DVD de la télé me faisait entendre des soupirs que je rattachais à ta jouissance. J’avais l’impression d’être possédé par mon anus comme jamais. Si mes jambes et un bras étaient attachés mon autre était libre et me permit de mettre le bandeau sur les yeux.
C’est ainsi que, dans la position demandée, j’ai entendu la clé dans la serrure et la porte s’ouvrir.
Tu m’interpellas aussitôt.
« Mais je vois que mon petit chéri a fait tout ce que j’ai demandé…. ».
Tu t'es approchée de moi et tout en me caressant les fesses, tu m’as attaché la dernière main valide, et resserré les autres liens.
« C’est mieux ainsi, mon petit esclave » me dis tu. Et d’un ton méprisant tu rajoutas. « Tu ne trouves pas que c’est un beau PD, qui aime se faire sodomiser. Regardes, je bouge le plug et il va aimer »
En un instant, je compris que tu n’étais pas seule. La panique m’envahit. Mais immédiatement tu as commencé à faire bouger le plug en moi en me disant. « Quand Jean va te sodomiser, tu vas aimer petit coquin. Il est très doué pour faire l’amour. D’ailleurs sens moi ma chatte. Elle sent encore le sperme. » Tu t’es approché de mon visage. Des odeurs de cyprine et de sperme mélangé venaient flatter mes narines. Me tirant la tête en arrière, tu me dis « C’est bon, petite pute, cela me donne envie…..eh ! Mais tu bandes…cochon…Attends tu n’as rien entendu encore….Jean prends moi vite pendant que je m’appuie sur cette pute »
J’ai deviné à tes mouvements qu’il s’introduisait en toi. Jean devait être excité car aussitôt il te laboura avec vigueur. Tout en t’appuyant sur moi, ton corps me renvoyait ses coups de butoir. Je ne sais si c’est le plaisir qui te transformait ainsi, mais tu t’étais agrippé au plug que tu agitais sauvagement. Mon envie augmentait en même temps qu’une certaine douleur. Attaché, je ne pouvais bouger et me donner du plaisir.
J’ai entendu ta jouissance comme jamais, puis senti le poids de ton corps qui se détend. Jean repris avec plus de vigueur. Il était sur le point de jouir quand tu lui as demandé d’éjaculer sur mon visage. C’est ainsi que je reçus le sperme chaud de ton amant.
Des bruits de succions me firent penser que vous vous embrassiez et que tu lui offrais tes lèvres. La jalousie remonta vite et je râlais dans mon bâillon.
«Tu as raison petite salope, tu veux que l’on s’occupe de toi » me dis tu. Tu enlevas mon bâillon mais aussitôt tu le remplaças par le sexe de Jean. Une main dans mes cheveux, Jean m’imprima le rythme.
Pendant ce temps, tu retiras le plug. C’est comme si un grand vide avait lieu en moi. Mon anus semblait réclamer son dû. Je devais avoir la rondelle béante. Ce que tu confirmas aussitôt.
«Jean, je veux te voir le pénétrer, viens vite » ordonnas tu. Jean s’exécuta avec empressement. Mon anus était si dilaté que l’intromission se fit sans difficulté. Je subis avec plaisir ces coups de reins. Jean cherchait à heurter ma prostate le plus loin possible. Il prenait son temps, sûr de sa victoire. Pendant ce temps, tu me donnas le privilège de sucer ton sexe. J’aimais titiller, laper ton clitoris. Aux contractions de Jean, je compris qu’il allait se déverser en moi. Mon anus accueillit un flot de sperme…..
Quand Jean fut parti et moi défait de tout mon accoutrement, nous fîmes l’amour lentement et doucement. La délicatesse remplaçait la sauvagerie sexuelle. Tu m’avouas avoir rencontré Jean sur Internet avec comme seul but de pimenter notre vie.
Jean t’avait fait l’amour en sortant du restaurant…..
Je m’endormis dans tes bras reconnaissant d’amour.