Cocu

Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 13:20

Olivier distribue les chaises. Karine est assis au fond de la pièce. A sa droite le canapé, à sa gauche Nicole, assise à coté d’Olivier. Je suis assis entre le canapé et la table, bouchant le passage à Jean-Michel qui est assis prés de la table.

Les trois protagonistes essaient de détendre l’atmosphère. Ils parlent de voyages, de leurs expériences libertines.

Karine vide plusieurs coupes de champagnes. Elle se détend un peu.

 

Dans un moment d’impatience, Olivier demande ce que l’on veut, si on veut passer à l’acte. Outre que seule Karine peut répondre, la question semble burlesque tant elle manque de séduction, et de raffinement.

Devant nos tergiversations et tentatives de leur demander d’agir plus adroitement, Jean-Michel se lève, et va s’asseoir sur le canapé, à coté de Karine.

Sa main se pose, sur la cuisse de Karine, pendant qu’il approche sa tête des lèvres de ma belle. J’ai le cœur qui bat la chamade, quand je vois Karine se lever. Jean-Michel, fou d’excitation, se lève d’un bond, et vient caresser les seins, les fesses de mon épouse. Il tente de l’embrasser, mais elle se défie à chaque fois.

Olivier, s’est vite fait entreprendre par Nicole, qui extirpe son sexe du pantalon. Un beau grand sexe. C’est ainsi, le sexe en bandoulière que Nicole pousse Olivier vers ma femme. De dos, il embrasse le cou de Karine, lui caresse les fesses, remonte la jupe.

Karine me regarde en riant. J’ai su après que la situation lui paraissait ubuesque et qu’elle se retenait d’éclater de rire, De mon coté, assis sur ma chaise, j’essayai de lui dire,  avec mes yeux, d’arrêter. Aucun son ne sortait de ma bouche. J étais hypnotisé. Je ne bougeais plus. Je pensais que tout allait s’arrêter.

Les mains sur le corps de ma belle, se faisaient plus inquisitrices. Les doigts avaient pris possession de son intimité. Les seins sortaient du soutien gorge. Les boutons tombaient les uns après les autres. La robe chue par terre très vite de même que le soutien gorge.

La tête rejetée en arrière, appuyée sur l épaule d’Olivier, Karine subissait un jeu à quatre mains. Son intimité était visitée par ses deux partenaires sans aucune retenue. Jean-Michel tétait les seins, pendant qu’Olivier les caressait  Karine masturbait pendant ce temps ces deux amants. Elle semblait s’accrocher à leur sexe comme un marin s’accroche à son embarcation pour ne pas couler.

 

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Par cocusuissege - Publié dans : Cocu
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Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 13:31

 

 

Cela faisait un moment que je cherchais sur internet des sites me permettant de vivre de nouveau un moment caudaliste.

 

Ce fut lors d’un tchat que je fis la connaissance d’Olivier. Quadra, il paraissait sain d’esprit. Fort de plusieurs expériences avec des couples, il a su me mettre en confiance. Il semblait courtois, poli, et pas pressé de conclure sexuellement.

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Devant mes doutes à pouvoir répondre aux exigences de Karine, il me proposa de nous joindre à un couple de quinqua qui entrainait souvent Olivier dans leurs jeux. Je n’en sus pas plus sur ce couple.

 

Olivier nous proposait de tous nous rencontrer chez lui. Il m’expliqua que le passage à l’acte serait plus facile car moins agressif. Il m’assurait que rien ne serait obligatoire.

 

Avec la condition requise, que je serais non participant et que l’épouse du couple ne tenterait rien sur Karine, j’ai demandé à mon épouse de participer à un apéritif chez lui.

     

Je craignais un refus de Karine. C’était mal connaître son envie de me faire plaisir.

     

Le jour J, après nombreux reports de date, un début de grippe nous faisait tousser énormément. Bien qu’ayant prévenu notre hôte de notre état, celui-ci avait maintenu l’invitation.

 

J’étais convaincu que nous nous rendions à l’apéritif pour peu de temps. Je ne comprenais pas pourquoi Karine prenait son temps pour se préparer alors que nous prévoyons de partir tout de suite après. Un maquillage discret et élégant, le corps parfumé d’onguent, elle prenait plaisir à choisir ses sous vêtements.

 

De mon coté, j’enfilais une chemise noire et un pantalon noir. Je portais en dessous ma cage de chasteté, comme il se doit.

 

Karine me demanda qu’elle robe choisir. J’optais pour une robe en tissu au motif serpent qui se boutonne devant. La robe est simple, pas trop courte, avec un beau décolleté.  Avec ses talons hauts et ses bas, ma femme est sublime. Elle me propose d’autres robes, que je rejette. Pour un simple apéritif, c’est bien suffisant et je ne vois pas le besoin d’être hyper sexy, si l’on ne doit que prendre un verre.

 

Durant le trajet, j’essaie de plaisanter et parler de tout et rien pour détendre l’atmosphère.

 

Je n’ai pas pu répondre aux nombreuses questions de Karine; Non je n’ai pas échangé de photo ; Non, je ne connais pas les prénoms ni les noms des invités, sauf celui de notre hôte, Olivier; Non je ne connais pas leurs professions; Oui ceux sont des gens de notre âge…  

     

Finalement, le cœur battant la chamade, nous sonnons à la porte de l’appartement.

 

La porte s’ouvre. C est un choc pour moi. Je ne regarde pas Karine, mais je sais que notre hôte n’est pas le type d’homme qu’elle aime. Quant à l’autre couple, l’homme est un peu enveloppé, porte des bacchantes….bref pas son type non plus. Je regarde Karine d’un air désolé. Elle me fait une moue qui en dit long.

 

Olivier fait les présentations. Nicole, petite à la chevelure courte et noir jais, accompagne Jean-Michel.

 

Un verre de champagne à la main, nous allons dans le salon qui fait aussi salle à manger.

 

La pièce est petite. La table à droite en entrant est dressée pour manger une fondue. Mais ce qui surprend le plus, c’est le canapé, déjà ouvert, avec une couette dessus. L’invitation au libertinage est un peu forte à mon goût.

 
Par cocusuissege - Publié dans : Cocu
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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 10:58

 

 

Le jour J est arrivé. Tu m’as bien prévenu que cela serait le jour oû je devrais assumer définitivement mes tendances. eve 020

 

Tout excité d’avoir été obligé d’attendre de pouvoir sortir du bureau, j’ai conduit avec une certaine nervosité jusqu’à la maison. Tes remarques moqueuses sur moi, tes petites phrases assassines sur le fait que je préfère d’autres jeux à toi, ne purent diminuer mon excitation. Ce jeu que j’avais souhaité tu allais me l’offrir. C’est un jeu. Il ne s’agit pas d’amour mais de jeu. J’avais la joie d’un enfant recevant son jouet désiré de la main de ses parents. Est-ce pour cela qu’il se détournerait de ses parents ? Non bien sur…au contraire.

 

Arrivé à la maison, tu m’as demandé d’attendre dehors 5mn. Je tentais durant ce temps de m’occuper à arracher de mauvaises plantes. Quand la porte s’est entrouverte, j’ai foncé directement à la chambre. Je t’ai découvert avec la cravache dans une main et le plug gonflable dans l’autre.

- « Vite déshabilles toi, m’ordonnas tu. »

Je me suis exécuté à la vitesse de l’éclair, laissant mes habits en tas sur le plancher. Tu t’es approché de moi, caressant mon corps avec ta cravache.

Tes lèvres se sont approchées des miennes. Je les ai goutées, aspirées avec toute la fougue possible. Le goût est si délicat que mon sexe ne put s’empêcher de réagir.

- « Penches toi en avant, jambes écartées …..tu embrasses bien ….»

J’obéis. De petits coups de cravache sur les fesses, beaucoup de gel sur l’anus et le plug qui force son passage, s’insinue lentement et inexorablement sous ta pression. Mes sphincters se lâchent d’un coup. Le plug prend possession de moi, s’approprie ma douleur heureusement fugace. Je ne bouge pas le temps de m’habituer. Je respire rapidement. Je veux me redresser mais le ton de ta voix me rappelle qu’aucune équivoque n’est possible sur le détenteur de l’autorité. Je suis soumis.

Tu gonfles le plug. Le début est agréable. C’est comme si le plug cherchait à mieux s’adapter.

Je profite avec délectation de ce moment. Courte pause, que ton empressement à gonfler suspend. Le plug semble vouloir me déchirer. Je crie. Tu dégonfles. Je soupire de soulagement. Tu reprends le gonflage avec des doses plus ou moins fortes….Cela continue pendant une bonne vingtaine de minutes.

Je transpire à grosses gouttent. Quand tu retires le plug gonflable, c’est comme un grand vide. Mon cul réclame encore. Tu m’enfiles un plug en acier et m’ordonnes de m’habiller.

- « Dépêches toi, nous partons, me dis tu »

- « où ? »

- « Ne traines pas, tu verras bien. Tu sais tu as de la chance, je t’ai bien préparé ton cul de petite pute. Comme ça tu souffriras moins…Portes le sac noir. ». …….

 

Tu me fais arrêter la voiture au fond du parking de l ‘hotel Campanil. Je t’attends pendant 5mn. Lorsque tu reviens, tu me conduis jusqu’à une chambre située au RDC. La chambre est petite et propre….

Je me mets nu. Du sac, tu sors un collier, une corde, des pinces à seins que tu positionnes immédiatement. La morsure me fait durcir les mamelons. Le cockring lesté est mis autour des testicules. Tu rajoutes des poids aux testicules. J’adore me retrouver avec les testicules qui pendent.

Tu m’attaches les mains ensembles et les assemblent au niveau du collier. Tu me conduis dans le placard avec un bandeau sur les yeux. J y entre debout. Tu refermes la porte du placard.

A cause de la télé qui fonctionne, je ne comprends pas ce qui se passe. Je t’imagine aller chercher un amant pour lui faire l’amour à coté de moi. Cette idée me fait bander. J’ai vraiment envie de me masturber. Ma position m’en empêche.

Le temps me parait infiniment long. La porte du placard s’ouvre. Tu me tires violement dehors.

Tu me pinces les seins. Tes autres mains me torture les testicules…Je réalise que soudain tu es revenue accompagnée. Je veux parler. Mais un « Silence » me rappelle que je ne suis plus qu’une chose, votre chose.

- « Ma petite pute va être bien gentil avec François. Tu vas être sa femme pour la nuit…On ne refuse rien à son Maitre. François sera ton maitre….Ne me déçois pas »

Le François en question me juge pendant ce temps. Une grande claque sur les fesses et un ordre bref. « A genoux ». J’obéis.

On pousse mon visage sur son pantalon au niveau du sexe. Je le lèche à travers l’étoffe. On me demande de le sortir. Je défais maladroitement la ceinture et prends en bouche le sexe à moitié bandé. Tu me susurres à l’oreille, que le sexe est beau, grand, énorme. C’est pourquoi tu l’as choisi sur internet. C’est ton scénario et le sien.

Je me rends compte de l’énormité du sexe en essayant de le gober. Les mains jointes autour du cou m’empêchent de le mesurer.

Mes capacités buccales te donnent envie car tu te joins à moi pour le lécher……..

François me fait mettre à quatre pattes sur le lit le cul offert vers l’extérieur. On m’ôte le plug. C’est toi qui introduis son sexe dans mon anus après avoir sucé une dernière fois. Grace à la préparation au plug gonflable, la pénétration est non douloureuse. François s’amuse visiblement à sortir complètement et à se réintroduire d’un coup. Il commente mon anus béant. Son sexe semble ne jamais finir de s’introduire. C’est puissant fort, bestial……

Tu prends mon sexe et l’introduits en toi. Je te pénètre au coup de boutoir de François. Nous jouissons ensemble.

François se retire, enlève son préservatif et se répand sur mon dos. Il me présente son sexe à nettoyer. Visiblement cet intermède lui a plut. Car il retrouve une vigueur instantanée. Tu décides d’en profiter et lui demandes de te pénétrer doucement vu la longueur du sexe.

Le bandeau sur les yeux, j’avance à tâtons. Gauchement je suce un sein. Tu agrippes mon sexe et le masturbes nerveusement au gré de ton plaisir. Je me déplace pour que tu puisses me sucer ou me branler. Tes « prends-moi » résonnent dans ma tête. François alterne les positions et les rythmes. Jamais tu ne lâches mon sexe. Tu jouis fort en exultant ta jouissance. J’éjacule dans ta main.

 

Un bruit de vêtement. Tu t’approches de moi tout habillé.

- « Ce n’est pas fini pour toi. La petite pute va passer la nuit ici. J’emporte toutes tes affaires et te le rendrais demain. J’emporte les cordes et le plug. Je te laisse le collier, poids et pinces. François va faire venir des amis très bien monté selon lui. Je verrai les photos qu’il fera. Je ne sais pas combien ils seront, mais amuses toi bien. Attention, je ne reviendrai que si tu les as tous satisfaits. François est le libre arbitre. J’attends son téléphone. J’ai négocié avec le directeur pour que vous ne soyez pas dérangés. Il a demandé une gâterie en échange, et je ne veux pas lui faire il est trop moche. Il est d’accord que tu lui fasses. Alors appliques toi.

- Passes une bonne nuit et pense à moi…. »

 

J’ai eu tout juste le temps de te faire un bisou et te dire que je t’aime, que tu es partie. Je pensais sérieusement que tu reviendrais rapidement. La suite a démontré que j’avais tors.

Une fois ton départ, François s’allonge sur le lit et m’ordonne de le sucer. Il passe un ou deux coups de téléphone.

Il m’enlève le bandeau. La lumière m’aveugle au début. J’aperçois mon Maître d’une nuit. La cinquantaine bien conservée, les cheveux grisonnants, je comprends qu’il t’est plu. Il est grand et mince avec un sexe immense et deux petits testicules. Je réalise que tu as emporté tous mes vêtements.

François me fait coucher en travers de ses genoux et commence à me fesser durement. Il alterne les coups forts et les caresses. J’ai les fesses rouges et mords les draps pour ne pas hurler. François s’arrête seulement quand des coups résonnent à la porte.

Un groupe d’homme entre. Deux blacks et un beur aux cheveux courts se tiennent debout en rigolant. Ils sont jeunes et musclés et peu avenants. Ils ne me donnent pas envie. Mon sexe se rétracte. François l’aperçoit et entre en colère.

- « cette pute pense que vous n’êtes pas assez bien pour elle. Donnons-lui une bonne leçon. N’oubliez pas je veux vous voir la prendre trois fois au moins chacun… ».

On me tire par les cheveux. Je reçois des claques sur les fesses, on torture mon sexe pendant que l’on me bâillonne avec un sexe. On me pince les seins. Le beur a sorti des bougies et les fait couler sur mon sexe.

Lorsqu’ils sont nus, je ne peux m’empêcher d’admirer leur sexe énorme. On m’encule dans toutes les positions. Ils éjaculent sur moi, le visage les cheveux…..Je ne suis plus qu’un trou qui suce et reçoit des queues énormes…Ils finissent par me conduire à la salle de bain, me font entrer dans la baignoire et me pissent dessus.


Je suis humili

 

é, ne suis plus qu’un dépravé obscène avec du sperme partout. Et pourtant je jouis.

 

Trois heures se sont écoulés. Ils partent enfin. Je m’endors d’un coup. François me réveille le matin à 7H00. Il veut une fellation. Je m’applique. On frappe à la porte. Je cours ouvrir en pensant à toi.

Je reste stupide devant l’air lubrique du directeur de l’hôtel venant cherchant son dû. Il entre. François l’apostrophe.

-« Cette pute me suçait, voulez vous vous joindre…. »

Le Directeur sort un sexe mou. François m’oblige à le prendre en bouche. Une fois bien dur, François m


e fait me tourner et offrir mon cul. La sodomie est douloureuse. Je dois sucer pendant ce temps mon Maitre.

 

Je suis seul quand tu arrives me chercher. Je me jette dans tes bras. Tu me souris. Je t’aime. Dans la voiture, tu me dis que tu t’étais mis d’accord avec François pour qu’il me prête à ses amis pour une tournante dans les caves des cités pendant que vous deux vous…..ton sourire est si narquois que je ne sais si tu te moques de moi…

Par cocusuissege - Publié dans : Cocu - Communauté : les blogs persos
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Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 08:57

Tu étais rentrée plus tôt du bureau. Je m’acharnai sur mon ordinateur à résoudre un problème de formule. Nerveux, je n’avais été guère tendre avec toi quand tu m’avais demandé pour la deuxième fois si j'en avais encore pour longtemps avec les reproches usuels comme quoi j’aurais pu te prévenir plus tôt…. Bref tu étais partie fâchée avec comme seul mot « si j'étais toi, je rentrerai plus tôt… ».

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Sur le moment je n’avais pas prêté attention à tes paroles. Plus l’heure avançait, plus la vérité s’annonçait que je ne réussirais pas à finir ce soir. En pliant bagage, je ressassais ta dernière phrase. Que voulais tu dire ?

Je me hâtais vers la maison.

En arrivant, je ne vis pas ta voiture. Une sourde inquiétude me nouait l’estomac. Fébrilement, j’engageais la clé dans la serrure. La main tremblante, j'entrais en t’appelant. Seule la chatte me répondit. La lumière de notre chambre était allumée. J'entrais quasiment en courrant. J’eu le souffle coupé en franchissant le seuil. Une grande enveloppe blanche était posée en évidence sur le lit. Je déchirais le papier avec une vitesse inouïe et commença la lecture.

 

« Mon Amour,

 

Comme tu ne sais pas t’occuper de moi, j’ai décidé qu’un autre se chargerait de me donner du plaisir ce soir. Ne m’attends donc pas pour manger. Le frigo est suffisamment plein pour que tu puisses te nourrir.

 

Ce soir j’entends me donner pleinement….je te raconterai à mon retour et je suis sûre que cela te fera bander plus que dans nos histoires…

 

En attendant mon retour, je veux que tu ailles dans le bureau. Tu y trouveras plein de tes jouets. Je veux que tu les mettes tous. Je les ai choisi pour toi. Ne me déçois pas. Tu verras j’ai mis plein de plugs dont un très gros. Utilise-les tous à tour de rôle et fais comme tu veux mais quand je rentrerai je te veux avec le plus gros dans les fesses.

Je suis sûre que tu réussiras à t'attacher seul. Je te veux à quatre pattes les fesses en l’air, sur le pouf rouge, les fesses tournées vers les escaliers. Arranges toi pour mettre tous les poids possibles à tes testicules et seins. Bien sur tu n’oublieras pas le bandeau….

Mets un Dvd porno à la télé. Le son te donnera bien des idées et tu pourras m’imaginer jouissant…

 

Pense bien à ta petite chérie qui reviendra te faire lécher le sperme qui dégoulinera de tous ses orifices.

Je t’aime

 

Mes yeux s’étaient embués durant la lecture. Je pleurais comme un enfant. Je repris la lecture une nouvelle fois.

J’étais rassuré sur un point. Tu m’aimais et n’étais pas partie pour un autre. Plus je me repassais la lettre plus j’étais partagé entre la jalousie, la haine et l’amour. En descendant au bureau, je vis tout le matériel exposé bien en ordre.

Je me dépêchais de nourrir la chatte. Tout mon esprit était tourné vers toi. Mon imagination te projetait dans des mouvements de corps enlacés, de baisers passionnés. J’imaginais ton corps se tordre de plaisir, ton abandon aux caresses, ta jouissance.

En me déshabillant, je te devinais dans des étreintes torrides…et je bandais. Curieux mélange d’envie et de jalousie. Te savoir désirée relançait la compétition, l’envie de te garder….

C’est donc nerveusement, le sexe en érection, que je m'harnachais avec ce vêtement en cuir. Je pris soin de bien m’attacher le sexe, de passer le collier de cuir, les bracelets aux chevilles et aux poignets. Les couilles reçurent les poids demandés avec le cock ring. J’avais pris soin de bien les séparer avec une cordelette. Je me mis le bâillon boule dans la bouche

C’est avec la corde et les plugs que je partis m’installer. Apres avoir bien lubrifié mon orifice, je commençais à m’introduire le premier plug. Il est en plastic. Je me suis amusé à le faire entrer et sortir en moi comme un sexe en imaginant que tu subissais le même traitement. Puis je pris le deuxième en acier. L’introduction fut plus longue…je ne débandais pas. Quand je pris le god bleu, je sus qu il fallait bien me détendre. J’ai poussé tant que j’ai pu, écarté mes fesses aux maximum….J’avais l’impression qu'il me déchirait. Je me souvenais des fois où tu me l’introduisais en me traitant de petite pute qui devrait s’habituer à un sexe de noir……Lorsqu’il fut en moi, je me mis à quatre pattes, attachais le plug pour l’empêcher de sortir. Mes testicules étaient remontées par derrière avec une corde reliée à mon collier de cou. Mes seins supportaient assez bien les poids qui les tiraient vers le bas. Le DVD de la télé me faisait entendre des soupirs que je rattachais à ta jouissance. J’avais l’impression d’être possédé par mon anus comme jamais. Si mes jambes et un bras étaient attachés mon autre était libre et me permit de mettre le bandeau sur les yeux.

C’est ainsi que, dans la position demandée, j’ai entendu la clé dans la serrure et la porte s’ouvrir.

Tu m’interpellas aussitôt.

 

« Mais je vois que mon petit chéri a fait tout ce que j’ai demandé…. ».

 

Tu t'es approchée de moi et tout en me caressant les fesses, tu m’as attaché la dernière main valide, et resserré les autres liens.

« C’est mieux ainsi, mon petit esclave » me dis tu. Et d’un ton méprisant tu rajoutas. « Tu ne trouves pas que c’est un beau PD, qui aime se faire sodomiser. Regardes, je bouge le plug et il va aimer »

En un instant, je compris que tu n’étais pas seule. La panique m’envahit. Mais immédiatement tu as commencé à faire bouger le plug en moi en me disant. « Quand Jean va te sodomiser, tu vas aimer petit coquin. Il est très doué pour faire l’amour. D’ailleurs sens moi ma chatte. Elle sent encore le sperme. » Tu t’es approché de mon visage. Des odeurs de cyprine et de sperme mélangé venaient flatter mes narines. Me tirant la tête en arrière, tu me dis « C’est bon, petite pute, cela me donne envie…..eh ! Mais tu bandes…cochon…Attends tu n’as rien entendu encore….Jean prends moi vite pendant que je m’appuie sur cette pute »

J’ai deviné à tes mouvements qu’il s’introduisait en toi. Jean devait être excité car aussitôt il te laboura avec vigueur. Tout en t’appuyant sur moi, ton corps me renvoyait ses coups de butoir. Je ne sais si c’est le plaisir qui te transformait ainsi, mais tu t’étais agrippé au plug que tu agitais sauvagement. Mon envie augmentait en même temps qu’une certaine douleur. Attaché, je ne pouvais bouger et me donner du plaisir.

J’ai entendu ta jouissance comme jamais, puis senti le poids de ton corps qui se détend. Jean repris avec plus de vigueur. Il était sur le point de jouir quand tu lui as demandé d’éjaculer sur mon visage. C’est ainsi que je reçus le sperme chaud de ton amant.

Des bruits de succions me firent penser que vous vous embrassiez et que tu lui offrais tes lèvres. La jalousie remonta vite et je râlais dans mon bâillon.

«Tu as raison petite salope, tu veux que l’on s’occupe de toi » me dis tu. Tu enlevas mon bâillon mais aussitôt tu le remplaças par le sexe de Jean. Une main dans mes cheveux, Jean m’imprima le rythme.

Pendant ce temps, tu retiras le plug. C’est comme si un grand vide avait lieu en moi. Mon anus semblait réclamer son dû. Je devais avoir la rondelle béante. Ce que tu confirmas aussitôt.

«Jean, je veux te voir le pénétrer, viens vite » ordonnas tu. Jean s’exécuta avec empressement. Mon anus était si dilaté que l’intromission se fit sans difficulté. Je subis avec plaisir ces coups de reins. Jean cherchait à heurter ma prostate le plus loin possible. Il prenait son temps, sûr de sa victoire. Pendant ce temps, tu me donnas le privilège de sucer ton sexe. J’aimais titiller, laper ton clitoris. Aux contractions de Jean, je compris qu’il allait se déverser en moi. Mon anus accueillit un flot de sperme…..

 

Quand Jean fut parti et moi défait de tout mon accoutrement, nous fîmes l’amour lentement et doucement. La délicatesse remplaçait la sauvagerie sexuelle. Tu m’avouas avoir rencontré Jean sur Internet avec comme seul but de pimenter notre vie.

Jean t’avait fait l’amour en sortant du restaurant…..

 

Je m’endormis dans tes bras reconnaissant d’amour. 

Par cocusuissege - Publié dans : Cocu - Communauté : Le club des cocus...
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Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 18:00

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Alors que je suis occupé à analyser des données financières, le téléphone sonne. Ma tendre moitié, d’une voix enjouée s’enquière de ma santé et de mon humeur.  Je

Je réponds laconiquement et distraitement, toujours préoccupé par mon travail. En fait je ne prête qu’une oreille peu attentive.

Ma dulcinée met fin à la conversation :

 «Tu n’as pas écouté. Tant pis pour toi, tu auras une surprise ce soir. Je t’aime Bisous »

Je repose le combiné un peu intrigué. Je me replonge immédiatement dans mes chiffres et oublie vite cette discussion. L’après midi passe vite, tout absorbé à ma tache.

 

Je rentre un peu tard à la maison pour retrouver mon épouse. Karine est une superbe femme, mince, aux longues jambes.  Son corps parfait avec ses petits seins, sa belle chute de rein, son sourire enjôleur, me rendent  fou de bonheur.

Quelque soit sa tenue vestimentaire, elle attire le regard des hommes. Perchée sur ses hauts talons aiguilles, elle se joue de leur désir, de leur regard envieux….

 

Je pousse la porte d’entrée. La maison me semble bien silencieuse. Je découvre une enveloppe posée sur le secrétaire. Je reconnais  l’écriture de Karine. Inquiet, j’ouvre fébrilement l’enveloppe.  Au dos d’une carte postale coquine est écrit un mot à l’encre bleue :

 

« Chut !!!! Vas te déshabiller dans la chambre,  enfonces toi le Plug que je t’ai préparé. Mets toi un collier avec haine autour du cou et surtout mets bien le bandeau sur les yeux et attends »

 

Fébrile d’excitation, je m’empressais de m’exécuter. Les vêtements furent enlevés à grande vitesse. Je bandais dans ma cage de chasteté. (Cela fait presque deux ans que je porte plus ou moins régulièrement une cage de chasteté, au gré du bon vouloir de Karine. Je lui ai offert ma sexualité et ma jouissance. Karine dispose de moi comme un bon petit soumis.)

 

Mon imagination galopait. J’imaginais ma belle transformée en Domina, prête à me fouetter, me torturer mes seins…

Après un long moment, j’entendis le bruit d’une clé que l’on enfonce dans la serrure de la porte d’entrée. Mon cœur s’accéléra. Les bruits de pas me maintenaient en haleine.

Et enfin la porte qui s’ouvre.

-          « Bonsoir, j’ai une belle surprise pour toi. Approches toi à 4 pattes»

Je m’approchais maladroitement.

-          « Enlèves to masque « me dit-elle

J’obéis. Un instant ébloui, je remarquai en premier le visage radieux de ma belle. Sa main droite s’agitait. Mon regard fut immédiatement  attiré par le préservatif qu’elle faisait tournoyer. L’extrémité était blanche, laissant imaginer sans hésitation qu’il était rempli  de sperme.

-          « Alors petit cocu, qu’est qu’on dit à sa petite femme qui vient de jouir »

Je restais abasourdi. Aucun son ne sortait de ma bouche. Mon érection, confinée par la cage, trahissait mon trouble interne.

-          « Fais pas cette tête, vient me lécher le sexe. J’ai encore envie de jouir » me taquina Karine.

Je m’approchais de ce sexe que j’avais tant de fois vénéré. Ma langue s’infiltra entre les lèvres. Je m’appliquais à la lécher, comme si je voulais la nettoyer. Son sexe sentait encore le latex. Il n’était pas complètement refermé, témoin des assauts récents qui avaient du faire chavirer ma belle dans le plaisir. J’avais envie de la faire jouir, moi aussi, petit coq prétentieux. Je m’appliquais. Karine jouit en criant Jean-Christophe.

Karine repris vite son ton enjoué.

-          « Pauvre petit cocu, Jean-Christophe ne veut pas que je t’enlèves ta cage. Il veut que je garde en moi l’odeur de sa peau. Pas de  jouissance ce soir, pour un soumis.. Tu devras donc garder ta cage.

-          « Par contre, enchaina – t-elle, je te fais un cadeau. Fermes les yeux »

Karine déversa le contenu de la capote sur mon visage, m’interdisant de m’essuyer. Le sperme sentait fort.

Karine me raconta comment elle l’avait connu, pendant que je l’écoutais à ses pieds. Le sperme séchant peu à peu sur mon visage, me faisait comme une seconde peau.

 

-          « Je suis allée au centre commercial. Je choisissais  des vêtements, une belle jupe blanche pour les vacances. Commenca – t elle

Un Homme de 35-40 ans, plutôt distingué malgré sa tenue décontractée, m’aborda. Il souhaitait offrir une robe à sa femme. J’avais la même taille. Il me demandait de l’aider.

La technique de drague était classique. Mais son attitude si sincère et sa gaucheriem’ avaient donné l’envie de continuer le jeu.

Je me suis dirigée vers les cabines.  J’essayais une robe quand mon inconnu se manifesta de l’autre coté du rideau. Il me demandait avec une maladresse touchante d’essayer la robe pour sa femme. J’ai hésité puis finalement accepté. J étais en petite tenue, quand il entrouvrit le rideau. Le coquin s’excusa. Il pensait que j’ avais revêtu la robe. Il mit beaucoup de temps pour refermer le rideau. Il profitait de l’instant pour m’ admirer. Je me suis amusé à bien me cambrer les reins, Je voulais qu’il admire mes  fesses et mon string blanc , qu’il lorgne mes seins dans mon soutien gorge assorti. J en rajoutais même par diverses postures aguicheuses.

Je dois avouer que j’étais troublée. Cette situation me plaisait de plus en plus. Je m’amusais de l’effet sur cet inconnu. Je tissais ma toile comme une araignée qui sait que sa proie va tomber dedans

J’ai enlevé  le soutien gorge pour essayer la robe. La finesse du tissu et le décolleté de la robe laissaient complaisamment entrevoir mes seins. Cela devrait avoir raison de mon prétendant.

Quand j’ ouvris la cabine, je suis allé vers  lui en virevoltant, laissant mon prétendant devenir cramoisi. Il lorgnait sans pudeur dans mon décolleté, envoyant une onde magnétique forte dans mon bas ventre. Je devais me reprendre. Je suis vite rentrée dans la cabine, me suis  changée et en lui donnant la robe lui dit au revoir.

 

Le bel inconnu s’empressa et finalement couru vers moi  pour me proposer un verre pour me remercier en s excusant pour son attitude. J’ai su à cet instant que tu seras cocu. Je le voulais inconsciemment.

Après une courte hésitation feinte, j’ai  accepté. L’inconnu se présenta. Jean –Christophe, vigile du centre, il travaillait la nuit.

Il me parla  longtemps. Jean-Christophe voulut me raccompagner jusqu’à ma voiture, dans le parking souterrain.

Arrivés devant la porte de ma voiture, il me plaqua contre la voiture et ml’embrassa sauvagement. Je n’ai  pas cherché à me débattre. Je lui ait même  rendu avec passion son baiser. Je sentais que je mouillais quand il pressa contre mon pubis, son sexe gonflé. Il me palpait les seins avec douceur. Je lui caressais sa bosse.

Il me chuchota de venir avec lui. Nous courûmes presque jusqu’à la voiture de Jean-Christophe. Il conduisait nerveusement, une main sur ma cuisse,  remontant  jusqu’à mon string. J’ écartais les jambes au maximum. Je lui caressai le bras tendrement.

Jean- Christophe s’est  garé dans une allée du bois attenant le centre. Une fois sorti de la voiture, Il m’a pris dans ses bras et m’a embrassé de nouveau. Il m’a bientôt poussé à me mettre à genoux. Je me suis accroupi, et j’ai sorti de son logement un sexe déjà bandé. Je l’ai pris en bouche pendant qu’il me tenait les cheveux. Il m’a fait me relevé pour ne pas  jouir.

Il m’a ensuite retournée, appuyée sur le capot, a enfilé un préservatif  et s’est enfoncé dans ma chatte comme un hussard, me pilonnant avec vigueur. Pour une fois, j’ai  aimé ce coté bestiale de l’étreinte aussi  brève soit elle.. Nous avons jouit  l’un après l’autre.

En me raccompagnant à ma voiture, il m’ a offert la robe destinée à sa femme…. »DSC 1762 2 2

Par cocusuissege - Publié dans : Cocu
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