Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 08:30

68Au réveil, nous avons rediscuté de la soirée. Ma femme et moi, nous avons convenu, que notre amour était le plus fort. Karine souhaitait avoir des aventures, mais souhaitait que je sois d’accord voir participatif. Afin de ne pas risquer de transformer un jeu en amour, L’aventure ne devrait pas durer plus de trois jours.

Fort de ces principes, nous sommes repartis sur la plage naturiste. A mon grand soulagement, l’amant de ma femme n’était pas là. Deux autres couples discutaient entre eux. Nous nous sommes éloignés à l’autre extrémité de la plage.

 

Dans l’âpres midi, nous parlions entre nous et nous n’avons pas fait attention à l’arrivé d’un superbe noir. Il se présenta comme étant Bryan., natif de la capitale, masseur de profession. Pendant qu’il nous parlait, nous ne pouvions nous empêcher de fixer son sexe, couleur ébène, et surtout d’une longueur impressionnante.

Bryan proposa de masser Karine. Il lui caressait la cuisse, pour lui expliquer les types de massage. Il dévorait Karine du regard. Il proposa un essai gratuit de 5mn….Son argumentation médicale était peu convaincante, et il était évident qu’il avait d’autres idées en tête. Mon épouse avait le regard trouble. C’est d’une petite voix que, sans me concerter, elle accepta l’essai. Elle me demanda de rester là et de les rejoindre plus tard dans la cabane à l’entrée de la plage pour payer le massage dans 40mn.

Assis sur ma serviette, j’ai eue une érection quand ils sont partis.

J’ai regardé ma montre toutes les 5mn. A l’heure dite, j’ai pris les affaires et me suis dirigé à vive allure vers le lieu de massage, simple cabane en bambou.

En arrivant, j’ai entendu ma femme gémir. Mon érection augmenta. Sans faire de bruit, je me suis approché et j’ai commencé à regarder entre les bambous. Karine était assise sur son masseur pendant qu’un autre comparse la prenait par derrière. Pour compléter le tableau un troisième comparse se faisait sucer le sexe. J étais hypnotisé par le spectacle. La couleur de la peau de mon épouse tranchait avec la peau de ces éphèbes, et faisait d’avantage ressortir leur sexe. Sous les supplications de ma femme, son sodomite éjacula. Peu de temps après, elle reçue le sperme dans la bouche de l’acolyte. Bryan jouit bruyamment.

C est à ce moment que je me décidais à entrer. De voir ma femme ainsi, me donna envie de la sodomiser. Je la pénétrais d’un coup. Ses amants lui présentèrent chacun leur sexe à sucer pendant ce temps en se moquant de moi, prétendant qu’avec mon petit sexe, elle ne devait pas sentir grand-chose.

J’ai éjaculé longtemps. Les amants éjaculèrent soit dans la bouche soit sur les seins de mon épouse.

Ma femme, remercia ses amants en étalant leur sperme.

« Je te présente Billy et Marten , je leur ai demandé que demain tu goutes aux même plaisir que moi. Ils ont des amis qui adorent les petits culs comme toi. Donc demain soir nous passons chacun de notre coté notre soirée. Moi avec eux et toi, petit coquin, prépares bien ton cul…».

En rentrant à notre chambre, Karine a bien voulu m’expliquer que Bryan, lui avait demandé de s’allonger sur la table, sur le ventre : Il avait commencé à la masser. Quand il s’approchait de l’intérieur du haut des cuisses, elle s’était amusée à gémir un peu et à écarter les jambes, tout en laissant trainer négligemment une main sur le bord de la table afin d’effleurer son masseur. Quand il avait massé ses fesses, de sa main elle lui caressait la cuisse. Elle s’est mise à gémir plus fort, en lui demandant si elle pouvait payer le massage autrement. Il s’est alors jeté sur elle, la couvrant de baisers, lui léchant les seins. Elle avait ensuite joué avec le sexe et l’avait pris en bouche en admirant la longueur du sexe. Il l’avait pénétré très vite et jouit trop vite, Devant la déception de ma femme, il avait appelé ses deux amis. La sodomie avait été douloureuse au début…

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Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 18:56

 

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Nous venons juste de rentrer de vacances….Le souvenir de notre dernière aventure est encore présente dans ma mémoire et berce agréablement mon sommeil.

 

Ma femme, Karine a encore un corps de rêve. 40 ans, mince, un minois d’ange avec un sourire parfait, des petits seins aux mamelons arrogants, elle a de grandes lèvres qui dépassent. Cette dernière vision me trouble toujours.

Nous sommes partis aux caraïbes, à Antigua nous ressourcer. Les plages de sables fins, l’eau turquoise sont là pour nous redonner l’envie de nous retrouver.

Nous fréquentons la seule plage naturiste de l’ile. La plage Eden rock est longue de 300m de sable fin. L’eau est calme et les poissons sont abondants.

La plage est quasiment déserte et offre de nombreux recoins discrets entre la végétation, havre de protection du soleil. De toutes nos journées, nous n’avons pas vu plus de 10 personnes…peu de monde et pourtant.

 

Le premier jour

J’ai abandonné ma femme à sa sieste. Elle était allongée, un peu sur les hauteurs de la plage, sous un grand parasol pour se protéger du soleil.

J’ai pris mon masque et mes palmes pour découvrir la faune sous marine. A 50m à droite un homme faisait la sieste. A 100m à gauche un couple dormait.

Cela faisait longtemps que tout occupé à admirer les poissons, je n’avais pas regardé la plage. Le courant m’avait déporté au loin. Je relevais la tête hors de l’eau et cherchais où était Karine. Enfin je l’ai reconnu.

Elle était entrain de bavarder avec un homme. Je ne pouvais entendre, mais elle semblait rire. L’homme lui tendit la main comme pour l’aider à se relever. Ma femme se redressa, et se coula dans les bras de cet inconnu. Ils s’embrassaient comme des lycéens. J avais le cœur qui battait la chamade.

J’ai observé, tétanisé, mon épouse, tirer l’homme par son sexe pour le conduire plus à l’écart. Elle s’est tournée, et l’inconnu l’a pénétré. Cela a duré 5mn avant qu’ils ne se séparent. D’un bisou, ils se sont quittés. Ma femme a repris sa position allongée, sous le parasol comme de rien.

Je suis sorti de ma torpeur et j’ai rejoins la rive le plus vite possible.

Ma femme était allongée sur le dos, les jambes légèrement entrouvertes. En m’approchant, j’aperçu un filet de sperme coulant de son sexe. Je me suis allongé à ses cotés, ne sachant pas qu’elle attitude adoptée.

Karine, tout sourire m’a demandé si les poissons étaient beaux..s’ils avaient de belles queues. Je déglutissais difficilement devant tant de subtilité. Elle rajouta crânement : « Tu sais il y a de magnifique spécimen sur la plage ». Et joignant le geste à la parole, elle me prit ma main et la guida sur son sexe…. .

« Tu vois, c’est la saison des amours…. » me dit-elle. « Au fait, mon chéri, je te rejoins après l’apéritif. Je vais en gouter un spécial avec lui, dans sa chambre. ».

Nous avons beaucoup discuté. Mais au vu de mon érection, ma femme a vite compris mon excitation, et mon désir de la voir prendre son plaisir.

Lorsque nous sommes arrivés de retour à la chambre de l’hôtel, Karine est partie se doucher. Je l’ai vu se maquiller avec application. Tout sourire, elle m’a demandé de choisir sa tenue. De mauvaise grâce, mais vengeur, je lui sorti un jean quelconque et un tee-shirt large. En riant, mon épouse, a rejeté tous les vêtements présentés et opta pour une robe blanche, au décolleté époustouflant. Sans culotte, de hauts escarpins, elle semblait divine. Trop pour lui, pensais-je.

Avant de partir elle m’a attaché sur le lit pour que je ne sois pas tenter de les perturber ou d’aller voir une autre femme. Elle prit soin de me bander le sexe et les testicules. C’est ainsi qu’attaché en croix, je dus attendre son retour.

Lorsqu’elle revint, les traits du visage tirés, l’air fatigué, elle me fit taire d’un doigt sur la bouche, écarta les pans de sa robe et me présenta son sexe encore humide. Elle m’a fait lécher son sexe plein de sperme de son amant. Une fois détaché, fou d’excitation je lui ai fait l’amour longtemps…..Karine n’a pas voulu me raconter ce qu’il s’était passé.


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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 10:58

 

 

Le jour J est arrivé. Tu m’as bien prévenu que cela serait le jour oû je devrais assumer définitivement mes tendances. eve 020

 

Tout excité d’avoir été obligé d’attendre de pouvoir sortir du bureau, j’ai conduit avec une certaine nervosité jusqu’à la maison. Tes remarques moqueuses sur moi, tes petites phrases assassines sur le fait que je préfère d’autres jeux à toi, ne purent diminuer mon excitation. Ce jeu que j’avais souhaité tu allais me l’offrir. C’est un jeu. Il ne s’agit pas d’amour mais de jeu. J’avais la joie d’un enfant recevant son jouet désiré de la main de ses parents. Est-ce pour cela qu’il se détournerait de ses parents ? Non bien sur…au contraire.

 

Arrivé à la maison, tu m’as demandé d’attendre dehors 5mn. Je tentais durant ce temps de m’occuper à arracher de mauvaises plantes. Quand la porte s’est entrouverte, j’ai foncé directement à la chambre. Je t’ai découvert avec la cravache dans une main et le plug gonflable dans l’autre.

- « Vite déshabilles toi, m’ordonnas tu. »

Je me suis exécuté à la vitesse de l’éclair, laissant mes habits en tas sur le plancher. Tu t’es approché de moi, caressant mon corps avec ta cravache.

Tes lèvres se sont approchées des miennes. Je les ai goutées, aspirées avec toute la fougue possible. Le goût est si délicat que mon sexe ne put s’empêcher de réagir.

- « Penches toi en avant, jambes écartées …..tu embrasses bien ….»

J’obéis. De petits coups de cravache sur les fesses, beaucoup de gel sur l’anus et le plug qui force son passage, s’insinue lentement et inexorablement sous ta pression. Mes sphincters se lâchent d’un coup. Le plug prend possession de moi, s’approprie ma douleur heureusement fugace. Je ne bouge pas le temps de m’habituer. Je respire rapidement. Je veux me redresser mais le ton de ta voix me rappelle qu’aucune équivoque n’est possible sur le détenteur de l’autorité. Je suis soumis.

Tu gonfles le plug. Le début est agréable. C’est comme si le plug cherchait à mieux s’adapter.

Je profite avec délectation de ce moment. Courte pause, que ton empressement à gonfler suspend. Le plug semble vouloir me déchirer. Je crie. Tu dégonfles. Je soupire de soulagement. Tu reprends le gonflage avec des doses plus ou moins fortes….Cela continue pendant une bonne vingtaine de minutes.

Je transpire à grosses gouttent. Quand tu retires le plug gonflable, c’est comme un grand vide. Mon cul réclame encore. Tu m’enfiles un plug en acier et m’ordonnes de m’habiller.

- « Dépêches toi, nous partons, me dis tu »

- « où ? »

- « Ne traines pas, tu verras bien. Tu sais tu as de la chance, je t’ai bien préparé ton cul de petite pute. Comme ça tu souffriras moins…Portes le sac noir. ». …….

 

Tu me fais arrêter la voiture au fond du parking de l ‘hotel Campanil. Je t’attends pendant 5mn. Lorsque tu reviens, tu me conduis jusqu’à une chambre située au RDC. La chambre est petite et propre….

Je me mets nu. Du sac, tu sors un collier, une corde, des pinces à seins que tu positionnes immédiatement. La morsure me fait durcir les mamelons. Le cockring lesté est mis autour des testicules. Tu rajoutes des poids aux testicules. J’adore me retrouver avec les testicules qui pendent.

Tu m’attaches les mains ensembles et les assemblent au niveau du collier. Tu me conduis dans le placard avec un bandeau sur les yeux. J y entre debout. Tu refermes la porte du placard.

A cause de la télé qui fonctionne, je ne comprends pas ce qui se passe. Je t’imagine aller chercher un amant pour lui faire l’amour à coté de moi. Cette idée me fait bander. J’ai vraiment envie de me masturber. Ma position m’en empêche.

Le temps me parait infiniment long. La porte du placard s’ouvre. Tu me tires violement dehors.

Tu me pinces les seins. Tes autres mains me torture les testicules…Je réalise que soudain tu es revenue accompagnée. Je veux parler. Mais un « Silence » me rappelle que je ne suis plus qu’une chose, votre chose.

- « Ma petite pute va être bien gentil avec François. Tu vas être sa femme pour la nuit…On ne refuse rien à son Maitre. François sera ton maitre….Ne me déçois pas »

Le François en question me juge pendant ce temps. Une grande claque sur les fesses et un ordre bref. « A genoux ». J’obéis.

On pousse mon visage sur son pantalon au niveau du sexe. Je le lèche à travers l’étoffe. On me demande de le sortir. Je défais maladroitement la ceinture et prends en bouche le sexe à moitié bandé. Tu me susurres à l’oreille, que le sexe est beau, grand, énorme. C’est pourquoi tu l’as choisi sur internet. C’est ton scénario et le sien.

Je me rends compte de l’énormité du sexe en essayant de le gober. Les mains jointes autour du cou m’empêchent de le mesurer.

Mes capacités buccales te donnent envie car tu te joins à moi pour le lécher……..

François me fait mettre à quatre pattes sur le lit le cul offert vers l’extérieur. On m’ôte le plug. C’est toi qui introduis son sexe dans mon anus après avoir sucé une dernière fois. Grace à la préparation au plug gonflable, la pénétration est non douloureuse. François s’amuse visiblement à sortir complètement et à se réintroduire d’un coup. Il commente mon anus béant. Son sexe semble ne jamais finir de s’introduire. C’est puissant fort, bestial……

Tu prends mon sexe et l’introduits en toi. Je te pénètre au coup de boutoir de François. Nous jouissons ensemble.

François se retire, enlève son préservatif et se répand sur mon dos. Il me présente son sexe à nettoyer. Visiblement cet intermède lui a plut. Car il retrouve une vigueur instantanée. Tu décides d’en profiter et lui demandes de te pénétrer doucement vu la longueur du sexe.

Le bandeau sur les yeux, j’avance à tâtons. Gauchement je suce un sein. Tu agrippes mon sexe et le masturbes nerveusement au gré de ton plaisir. Je me déplace pour que tu puisses me sucer ou me branler. Tes « prends-moi » résonnent dans ma tête. François alterne les positions et les rythmes. Jamais tu ne lâches mon sexe. Tu jouis fort en exultant ta jouissance. J’éjacule dans ta main.

 

Un bruit de vêtement. Tu t’approches de moi tout habillé.

- « Ce n’est pas fini pour toi. La petite pute va passer la nuit ici. J’emporte toutes tes affaires et te le rendrais demain. J’emporte les cordes et le plug. Je te laisse le collier, poids et pinces. François va faire venir des amis très bien monté selon lui. Je verrai les photos qu’il fera. Je ne sais pas combien ils seront, mais amuses toi bien. Attention, je ne reviendrai que si tu les as tous satisfaits. François est le libre arbitre. J’attends son téléphone. J’ai négocié avec le directeur pour que vous ne soyez pas dérangés. Il a demandé une gâterie en échange, et je ne veux pas lui faire il est trop moche. Il est d’accord que tu lui fasses. Alors appliques toi.

- Passes une bonne nuit et pense à moi…. »

 

J’ai eu tout juste le temps de te faire un bisou et te dire que je t’aime, que tu es partie. Je pensais sérieusement que tu reviendrais rapidement. La suite a démontré que j’avais tors.

Une fois ton départ, François s’allonge sur le lit et m’ordonne de le sucer. Il passe un ou deux coups de téléphone.

Il m’enlève le bandeau. La lumière m’aveugle au début. J’aperçois mon Maître d’une nuit. La cinquantaine bien conservée, les cheveux grisonnants, je comprends qu’il t’est plu. Il est grand et mince avec un sexe immense et deux petits testicules. Je réalise que tu as emporté tous mes vêtements.

François me fait coucher en travers de ses genoux et commence à me fesser durement. Il alterne les coups forts et les caresses. J’ai les fesses rouges et mords les draps pour ne pas hurler. François s’arrête seulement quand des coups résonnent à la porte.

Un groupe d’homme entre. Deux blacks et un beur aux cheveux courts se tiennent debout en rigolant. Ils sont jeunes et musclés et peu avenants. Ils ne me donnent pas envie. Mon sexe se rétracte. François l’aperçoit et entre en colère.

- « cette pute pense que vous n’êtes pas assez bien pour elle. Donnons-lui une bonne leçon. N’oubliez pas je veux vous voir la prendre trois fois au moins chacun… ».

On me tire par les cheveux. Je reçois des claques sur les fesses, on torture mon sexe pendant que l’on me bâillonne avec un sexe. On me pince les seins. Le beur a sorti des bougies et les fait couler sur mon sexe.

Lorsqu’ils sont nus, je ne peux m’empêcher d’admirer leur sexe énorme. On m’encule dans toutes les positions. Ils éjaculent sur moi, le visage les cheveux…..Je ne suis plus qu’un trou qui suce et reçoit des queues énormes…Ils finissent par me conduire à la salle de bain, me font entrer dans la baignoire et me pissent dessus.


Je suis humili

 

é, ne suis plus qu’un dépravé obscène avec du sperme partout. Et pourtant je jouis.

 

Trois heures se sont écoulés. Ils partent enfin. Je m’endors d’un coup. François me réveille le matin à 7H00. Il veut une fellation. Je m’applique. On frappe à la porte. Je cours ouvrir en pensant à toi.

Je reste stupide devant l’air lubrique du directeur de l’hôtel venant cherchant son dû. Il entre. François l’apostrophe.

-« Cette pute me suçait, voulez vous vous joindre…. »

Le Directeur sort un sexe mou. François m’oblige à le prendre en bouche. Une fois bien dur, François m


e fait me tourner et offrir mon cul. La sodomie est douloureuse. Je dois sucer pendant ce temps mon Maitre.

 

Je suis seul quand tu arrives me chercher. Je me jette dans tes bras. Tu me souris. Je t’aime. Dans la voiture, tu me dis que tu t’étais mis d’accord avec François pour qu’il me prête à ses amis pour une tournante dans les caves des cités pendant que vous deux vous…..ton sourire est si narquois que je ne sais si tu te moques de moi…

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Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 08:57

Tu étais rentrée plus tôt du bureau. Je m’acharnai sur mon ordinateur à résoudre un problème de formule. Nerveux, je n’avais été guère tendre avec toi quand tu m’avais demandé pour la deuxième fois si j'en avais encore pour longtemps avec les reproches usuels comme quoi j’aurais pu te prévenir plus tôt…. Bref tu étais partie fâchée avec comme seul mot « si j'étais toi, je rentrerai plus tôt… ».

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Sur le moment je n’avais pas prêté attention à tes paroles. Plus l’heure avançait, plus la vérité s’annonçait que je ne réussirais pas à finir ce soir. En pliant bagage, je ressassais ta dernière phrase. Que voulais tu dire ?

Je me hâtais vers la maison.

En arrivant, je ne vis pas ta voiture. Une sourde inquiétude me nouait l’estomac. Fébrilement, j’engageais la clé dans la serrure. La main tremblante, j'entrais en t’appelant. Seule la chatte me répondit. La lumière de notre chambre était allumée. J'entrais quasiment en courrant. J’eu le souffle coupé en franchissant le seuil. Une grande enveloppe blanche était posée en évidence sur le lit. Je déchirais le papier avec une vitesse inouïe et commença la lecture.

 

« Mon Amour,

 

Comme tu ne sais pas t’occuper de moi, j’ai décidé qu’un autre se chargerait de me donner du plaisir ce soir. Ne m’attends donc pas pour manger. Le frigo est suffisamment plein pour que tu puisses te nourrir.

 

Ce soir j’entends me donner pleinement….je te raconterai à mon retour et je suis sûre que cela te fera bander plus que dans nos histoires…

 

En attendant mon retour, je veux que tu ailles dans le bureau. Tu y trouveras plein de tes jouets. Je veux que tu les mettes tous. Je les ai choisi pour toi. Ne me déçois pas. Tu verras j’ai mis plein de plugs dont un très gros. Utilise-les tous à tour de rôle et fais comme tu veux mais quand je rentrerai je te veux avec le plus gros dans les fesses.

Je suis sûre que tu réussiras à t'attacher seul. Je te veux à quatre pattes les fesses en l’air, sur le pouf rouge, les fesses tournées vers les escaliers. Arranges toi pour mettre tous les poids possibles à tes testicules et seins. Bien sur tu n’oublieras pas le bandeau….

Mets un Dvd porno à la télé. Le son te donnera bien des idées et tu pourras m’imaginer jouissant…

 

Pense bien à ta petite chérie qui reviendra te faire lécher le sperme qui dégoulinera de tous ses orifices.

Je t’aime

 

Mes yeux s’étaient embués durant la lecture. Je pleurais comme un enfant. Je repris la lecture une nouvelle fois.

J’étais rassuré sur un point. Tu m’aimais et n’étais pas partie pour un autre. Plus je me repassais la lettre plus j’étais partagé entre la jalousie, la haine et l’amour. En descendant au bureau, je vis tout le matériel exposé bien en ordre.

Je me dépêchais de nourrir la chatte. Tout mon esprit était tourné vers toi. Mon imagination te projetait dans des mouvements de corps enlacés, de baisers passionnés. J’imaginais ton corps se tordre de plaisir, ton abandon aux caresses, ta jouissance.

En me déshabillant, je te devinais dans des étreintes torrides…et je bandais. Curieux mélange d’envie et de jalousie. Te savoir désirée relançait la compétition, l’envie de te garder….

C’est donc nerveusement, le sexe en érection, que je m'harnachais avec ce vêtement en cuir. Je pris soin de bien m’attacher le sexe, de passer le collier de cuir, les bracelets aux chevilles et aux poignets. Les couilles reçurent les poids demandés avec le cock ring. J’avais pris soin de bien les séparer avec une cordelette. Je me mis le bâillon boule dans la bouche

C’est avec la corde et les plugs que je partis m’installer. Apres avoir bien lubrifié mon orifice, je commençais à m’introduire le premier plug. Il est en plastic. Je me suis amusé à le faire entrer et sortir en moi comme un sexe en imaginant que tu subissais le même traitement. Puis je pris le deuxième en acier. L’introduction fut plus longue…je ne débandais pas. Quand je pris le god bleu, je sus qu il fallait bien me détendre. J’ai poussé tant que j’ai pu, écarté mes fesses aux maximum….J’avais l’impression qu'il me déchirait. Je me souvenais des fois où tu me l’introduisais en me traitant de petite pute qui devrait s’habituer à un sexe de noir……Lorsqu’il fut en moi, je me mis à quatre pattes, attachais le plug pour l’empêcher de sortir. Mes testicules étaient remontées par derrière avec une corde reliée à mon collier de cou. Mes seins supportaient assez bien les poids qui les tiraient vers le bas. Le DVD de la télé me faisait entendre des soupirs que je rattachais à ta jouissance. J’avais l’impression d’être possédé par mon anus comme jamais. Si mes jambes et un bras étaient attachés mon autre était libre et me permit de mettre le bandeau sur les yeux.

C’est ainsi que, dans la position demandée, j’ai entendu la clé dans la serrure et la porte s’ouvrir.

Tu m’interpellas aussitôt.

 

« Mais je vois que mon petit chéri a fait tout ce que j’ai demandé…. ».

 

Tu t'es approchée de moi et tout en me caressant les fesses, tu m’as attaché la dernière main valide, et resserré les autres liens.

« C’est mieux ainsi, mon petit esclave » me dis tu. Et d’un ton méprisant tu rajoutas. « Tu ne trouves pas que c’est un beau PD, qui aime se faire sodomiser. Regardes, je bouge le plug et il va aimer »

En un instant, je compris que tu n’étais pas seule. La panique m’envahit. Mais immédiatement tu as commencé à faire bouger le plug en moi en me disant. « Quand Jean va te sodomiser, tu vas aimer petit coquin. Il est très doué pour faire l’amour. D’ailleurs sens moi ma chatte. Elle sent encore le sperme. » Tu t’es approché de mon visage. Des odeurs de cyprine et de sperme mélangé venaient flatter mes narines. Me tirant la tête en arrière, tu me dis « C’est bon, petite pute, cela me donne envie…..eh ! Mais tu bandes…cochon…Attends tu n’as rien entendu encore….Jean prends moi vite pendant que je m’appuie sur cette pute »

J’ai deviné à tes mouvements qu’il s’introduisait en toi. Jean devait être excité car aussitôt il te laboura avec vigueur. Tout en t’appuyant sur moi, ton corps me renvoyait ses coups de butoir. Je ne sais si c’est le plaisir qui te transformait ainsi, mais tu t’étais agrippé au plug que tu agitais sauvagement. Mon envie augmentait en même temps qu’une certaine douleur. Attaché, je ne pouvais bouger et me donner du plaisir.

J’ai entendu ta jouissance comme jamais, puis senti le poids de ton corps qui se détend. Jean repris avec plus de vigueur. Il était sur le point de jouir quand tu lui as demandé d’éjaculer sur mon visage. C’est ainsi que je reçus le sperme chaud de ton amant.

Des bruits de succions me firent penser que vous vous embrassiez et que tu lui offrais tes lèvres. La jalousie remonta vite et je râlais dans mon bâillon.

«Tu as raison petite salope, tu veux que l’on s’occupe de toi » me dis tu. Tu enlevas mon bâillon mais aussitôt tu le remplaças par le sexe de Jean. Une main dans mes cheveux, Jean m’imprima le rythme.

Pendant ce temps, tu retiras le plug. C’est comme si un grand vide avait lieu en moi. Mon anus semblait réclamer son dû. Je devais avoir la rondelle béante. Ce que tu confirmas aussitôt.

«Jean, je veux te voir le pénétrer, viens vite » ordonnas tu. Jean s’exécuta avec empressement. Mon anus était si dilaté que l’intromission se fit sans difficulté. Je subis avec plaisir ces coups de reins. Jean cherchait à heurter ma prostate le plus loin possible. Il prenait son temps, sûr de sa victoire. Pendant ce temps, tu me donnas le privilège de sucer ton sexe. J’aimais titiller, laper ton clitoris. Aux contractions de Jean, je compris qu’il allait se déverser en moi. Mon anus accueillit un flot de sperme…..

 

Quand Jean fut parti et moi défait de tout mon accoutrement, nous fîmes l’amour lentement et doucement. La délicatesse remplaçait la sauvagerie sexuelle. Tu m’avouas avoir rencontré Jean sur Internet avec comme seul but de pimenter notre vie.

Jean t’avait fait l’amour en sortant du restaurant…..

 

Je m’endormis dans tes bras reconnaissant d’amour. 

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Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 18:21


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 Notre ami est venu nous rendre visite. Il revient de 15 jours de Kite-surfing. Toujours musclé, le corps trapu, il m’a toujours impressionné par sa capacité à s’exhiber totalement devant n’importe qui.

avancée n’a pas atténué sa capacité sportive et son besoin de plaire.

 

Ma femme apprécie son humour décalé. Elle ne le trouve pas beau, mais lui reconnait un beau regard.

 

Il est arrivé en fin de semaine. Amateur tout comm

e moi de vin fin, il nous avait offert une bonne bouteille. Pour fêter sa venue, nous avons commencé par prendre un superbe apéritif.

Le vin coulait à flot, et l’atmosphère se réchauffait aussi vite que nos esprits s’enflammaient.

 

Malgré le froid extérieur, je claironnais que j’allais finir par un digestif dans la piscine.

Un verre à la main, je me suis déshabillé entièrement pour entrer dans la piscine. J’oubliais, alcool aidant que je portais ma cage de chasteté.

Karine lui proposa de me rejoindre. Quand il me vit dans l’eau,  il s’est rendu compte que je portais une cage. Mon épouse en s’approchant de la piscine avec des linges de bain, lui expliqua l’air amusé

-          Jean porte une cage car il le veut. C’est mon petit soumis et cocu.

-          Paul riait car il croyait à une plaisanterie

J’étais rouge de honte et vite dégrisé. Il m’a fallut montrer l’objet du délit. J’ai du avouer que j’étais bisexuelle, j’aimais le SM, et que j’aimais Karine au point de lui laisser toute liberté.

Ma femme ne voulait pas parler de mon statu de cocu, pour ne pas donner des idées à Paul. C’était mal connaitre Paul.

Mon ami, devinant le trouble et l’embarras de Karine, agit comme un chasseur ayant trouvé sa proie et ne voulant pas la laisser perdre.

 

Il proposa à Karine de venir dans la piscine. Elle refusa car elle avait froid. Paul, sortit de l’eau avant que ma belle s’en retourne à l’intérieur. La vue de son sexe en érection stoppa net mon épouse. Il lui demanda en plongeant ses beaux yeux bleus dans ceux de Karine, de l’essuyer. Elle s’avança timidement. Il la questionnait à voix basse, lui demandant si elle me cocufiait.  Ma femme restait immobile, comme figée. Elle répondait dans un murmure. Personne ne comprenait. Sortant de l’eau, je poussais Paul en lui disant « embrasses là, elle déteste qu’on lui demande l’autorisation. »

Paul ne réfléchit plus. Il se lance dans un long baiser. Avec surprise pour moi, je vis Karine lui rendre et mettre ses mains autour de son cou. Le temps semblait s’arrêté. Ils s’embrassaient si tendrement qu’ils en étaient que plus beaux.

Paul prenait la tête de Karine pour mieux l’embrasser. Elle lui caressait le torse, et effleurait sans cesse son sexe. Mon ami ne restait pas inactif. De sa main gauche, il remontait la robe au dessus des fesses, découvrant avec stupeur l’absence de string.  Sa main droite pétrissait les seins.

Karine s écarta comme pour reprendre son souffle. Elle fit tomber la robe et apparue nue, dans toute sa beauté.

Paul s’approcha d’elle et la fit se mettre sur le dos. Il s’avança à genoux entre les cuisses et entreprit de lécher le sexe de ma femme. Elle  s’arc boutait pour mieux profiter de cet instant.  Tantôt, elle se tenait les seins, tantôt ses mains se portaient sur la tête de son amant, comme pour mieux le guider. Dans un superbe râle, ma femme jouit. Paul se redressa aussitôt et présenta son sexe bandé à l’entrée de sa chatte. Dans une invitation muette, elle le tira vers elle pour qu’il s’enfonce. Paul prit son temps et s’enfonça lentement, déclenchant une jouissance immédiate.

Il ne lui laissa pas le temps de reprendre son d souffle. Il pilonnait mon amour avec une force incroyable. Il alternait les positions.

C’est debout que Karine, jambes nouées dans son dos, les fesses contre le mur accueillit l’orgasme de notre ami. Il se déversa en elle en spasmes successifs. Il semblait de jamais arrêter de se déverser dans la chatte de ma femme.

Paul fut le premier à se souvenir de mon existence. Je n’avais pas débandé depuis le début de leur accouplement. Mon érection, comprimée par la cage me faisait mal.

Paul me demanda de venir récolter le fruit de sa jouissance. Karine me fit m’allonger sur le sol, avant de venir s’accroupir sur mon visage m ‘offrant sa chatte béante à lécher. Le sperme commençait à couler. Je m’empressais de tout laper, m’attardant sur les lèvres gonflées. La semence s’écoulait lentement me permettant de bien profiter de cette chatte. L’odeur m’enivrait presque.

Karine se mit à gémir.

Mais Paul ne l’entendait pas de cette oreille. Il était devenu le maitre du jeu. Cette femelle lui appartenait. Lui seul devait lui donner du plaisir. Il nous fit donc  nous relever.

Il m’ordonna de lui rendre sa vigueur. Je m’approchais du sexe flasque et le pris en bouche J’entrepris de lui faire une fellation qui permettrait à ma belle de bien profiter de ce sexe.

En pleine érection, il demanda à ma tendre, de se retirer dans notre chambre avec lui, pendant que je range la maison.

Une heure après, la maison enfin rangée, je suis monté vers notre chambre. La porte était ouverte. Karine à quatre pattes, subissait les assauts de son amant. Paul semblait infatigable.

Je me suis retiré pour aller dormir comme ils me l’avaient demandé dans la chambre d’amis.

 

Au réveil,…..à suivre si vous voulez

Par cocusuissege - Publié dans : Cocu par un ami - Communauté : Le club des cocus...
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