Cocu par un ami

Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 13:34

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Peu de temps après Karine et Paul arrivèrent…..et

Paul et Karine s’approchèrent de moi en riant. C’est mon ami qui remarqua en premier les traces de sperme dans mon dos. Karine me traitait de pervers, d'obsédé que l’on ne pouvait laisser seul, pendant que Paul me détachait. La dernière corde relâchée, je m’effondrais sur le sol. Mes muscles me faisaient mal. Ce n’est pas les quolibets de mon épouse qui apaiseraient la douleur. Le sang revenait dans mes membres.

Je m’allongeais sur le sol. Karine vient me rejoindre. Tout en s’amusant à me caresser le torse, elle me demanda de tout raconter.

Je n’omis aucun détail et j’insistais sur la menace de mon ex collègue.  Paul qui écoutait avec attention, se proposa de lui téléphoner pour régler cela lui-même. J’admirais secrètement sa façon autoritaire de diriger et je comprenais mieux l’ascendant qu’il avait sur ma femme.

N’ayant pas avec moi les coordonnées d’Alain, Paul ordonna le retour qui se fit de la même façon.

Une fois arrivé, muni du précieux numéro de téléphone, Paul partit dans le jardin pour appeler mon tourmenteur.

Karine m’aidait à préparer le repas. Elle me rappela qu’elle ne me quitterait pas, qu’elle m’aimait mais qu’elle vivait pleinement ses émotions. Elle partit rejoindre Paul sur son signe,  pour continuer la conversation téléphonique.

Les deux tourtereaux revinrent hilares.  Paul prit la parole

-          "Alain est un beau salopard. Il te tient et ne te lâchera pas. De plus, il est très fâché contre toi, car pendant que vous travailliez ensemble, tu ne lui as jamais montré d’attention, malgré tous ses efforts. Je pense qu’il en pinçait  pour toi."

-          Je me souvenais évidement qu’il avait une attitude bizarre. Je n’y avais pas prêté assez d’attention et agacé par son mutisme, j’avais mis des distances entre nous.

-         "Alain veut se venger, si j’ai bien compris. Il veut que tu te plies à sa volonté. Tu n’as guère de choix si tu veux garder un profil bas sur ton cocufiage.  Je pense qu’il veut te dominer sexuellement. Karine et moi, pensons que pendant que nous partirons le week-end, tu pourras séjourner chez lui. Ne dis rien,  nous sommes tous d’accord.

Nous nous sommes entendus sur les limites à ne pas franchir. Nous ne t’abandonnons pas, mais nous faisons ton éducation en quelque sorte.  Et puis avoues que tu aimes te faire prendre.

Ce soir, nous allons te préparer en vue du week-end. Tu vas porter un plug pendant le repas. Après nous élargirons ton anus. Nous te prendrons à tour de rôle. Karine avec son god-ceinture et moi, plus naturellement. C’est un beau Cadeau, car Karine ne recevra pas ma semence ce soir, mais toi oui…Allez va vite faire le repas"

Je m’éloignais, songeur. Ma vie prenait un tournant inattendu. Je sais que je peux tout arrêter maintenant. Je sais que les menaces d’Alain ne sont que purement psychologiques et n’ont aucune incidence réelle.

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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 08:34

 

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Ils se sont reposés pendant un long moment. Le temps parait aussi très long quand on est attaché. C’est Karine qui se réveilla en premier. Elle vint vers moi. Elle était nue. Malgré les cordes je sentais la douceur de sa peau.  

-          « As-tu entendu comme  j’ai bien joui ?

-          « Oui, j’ai entendu et cela m’excite »

-          « Tu n’es qu’un sale pervers, je ne t’ai jamais ordonné de t’exciter ni d’écouter, tu seras donc puni » et sur ce,  Karine ramassa une branche de pin et commença à me fouetter

-          « Tu devrais essayer avec cette branche », intervint Paul.  « Laisse moi te montrer » Paul appuyais plus fort les coups. Je serrais les dents de rage pour éviter de donner du plaisir à Paul.  

Mes fesses ne brulaient atrocement. Paul après s être éloigné revint et commença à me badigeonner les testicules avec du lait concentré…. »les fourmis devraient aimées. Allez vient, la femme du cocu, on va se promener. On revient tout à l’heure.

Paul et Karine se sont habillés et sont partis en riant.

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Je me retrouvais seul dans cette forêt. Je connaissais trop Karine pour savoir qu’elle reviendrait…mais quand.

Mon ami avait raison, les fourmis mais aussi les insectes aiment le lait concentré. Cela me chatouillait d’être parcourus par tous ces insectes. Je ne pouvais pas bouger  et j’avais trop peur de me faire piquer.

Le soleil, commençait à baisser. Heureusement j’entendis des bruits de pas.

-          « Venez vite, svp, les insectes me chatouillent trop. J’ai mal aux bras », implorais-je

-          « Mais c’est Jean, quel surprise ? qu’est-ce que tu fous comme ça ». Je reconnus immédiatement cette voix. C’était mon ancien collègue Alain, avait qui j'entretenais des relations polies mais tendues. Le monde s’effondrait devant moi. Toute la région allait être au courant.

-          « détaches moi stp" demandais-je.

-          « Ah non. D'abords tu m’expliques et après je verrais..et vu tes fesses, je pourrais t’aider à retrouver la mémoire en les faisant d’avantage rougir »

-          « Ok mais enlèves ces insectes."

Alain prit de l’eau dans sa gourde et me nettoya les couilles. Puis les attrapant et les tirant en arrière, il m’invita à commencer. Je lui racontais tout. Je décrivais Karine et Paul

Il m’expliqua qu’il avait vu un couple se baigné au bord du lac, non loin de là. Le couple avait pris du bon temps à la joie de certaines personnes. Il avait assisté aux ébats comme voyeur. Cela lui donnait des envies, qu’il voulait se soulager. Il sortit un préservatif et un peu de gel qu’il appliqua sans ménagement sur mon œillet.

Alain essaya de me sodomiser, ma position attachée ne facilitait pas sa tâche. Plus je lui interdisais de le faire, plus cela semblait l’exciter. Cependant, à force d'acharnement, il réussit à me prendre, pendant que je le traitais de salaud. Il se retira pour éjaculer sur mes fesses.

-          « Merci, mais si tu tiens à ce que cela ne sache pas, tu devras me rejoindre quand je t’appellerais. Ton cul m’appartient maintenant…Allez sois patient, ils vont bientôt arrivés.  A bientôt ma lopette »

Alain est parti en me déposant une claque sur les fesses.

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Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 15:08

Je finissais mon verre de sperme. J’avais les couilles vidées mais n’avais pas joui. Frustré, mais heureux de voir Karine, mon épouse, épanouie. Elle semblait prendre les événements comme si elle jouait.

Elle me remit ma cage de chasteté, avant de m’envoyer faire les courses.

 

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A mon retour, les deux amants m’attendaient. Habillés pour une randonnée, sac à dos, je n’eu que quelques minutes pour me préparer.

En sortant du lotissement, Paul me fit me garer dans un parking désert. Il m’ordonna d’enlever mes vêtements. Je n’osais agir. Karine vint vers moi courroucée. Elle m’informa que soit j’obéissais, soit je rentrais seul à la maison Inutile de dire que je me suis exécuté en vitesse. Je priai pour que personne ne passe et me reconnaisse. La chance était avec moi.

Paul m’ordonna de monter dans le coffre en me tentant un collier avec une laisse et un bandeau.

-          « mets le collier et le bandeau pendant le trajet, et que je ne t’entende pas

Je m’installais comme je pouvais, recroquevillé, en chien de fusil dans le coffre que referma  Paul. Le bruit sourd de la fermeture et le noir  accentue l’incomfort de la position. Le temps parait très long enfermé ainsi et les nombreux virages vous font heurter les parois du coffre.

Quand Paul ouvrit le coffre et me retira le bandeau, je fus d’abord ébloui par la lumière. Il m’extirpa en me tirant par la laisse. On me laissa mettre  mes chaussures. D’une main,Paul me tirait par la laisse, Je suivais à ses cotés. De l’autre coté, Karine s’appuyait sur son bras. Elle portait une jupe très courte et un chemisier blanc. Nous avancions dans les bois du Jura allant de clairière en clairière.

De temps en temps, la main de Paul lâchait celle de mon épouse pour se glisser sous la jupe, provoquant des rires de ma belle.

Arrivé dans un belle clairière, entourée de conifères robustes, Paul ouvrit le sac à doc et décida de m’attacher contre un tronc, le torse tourné vers le tronc.

Mon ami s’y connait en nœud, je ne pouvais presque pas bouger, les bras et les jambes encerclant le tronc et exhibant ainsi les parties charnues de mon anatomie.

Pendant ce temps Karine avait déposé sur le sol, un grand plaid. De ma place, je ne pouvais pas tout voir. Paul avait envie de Karine, il lui demanda de le sucer….je n’ai pas vu, mais j’ai entendu Karine jouir plusieurs fois, implorée Paul de la défoncer. J’ai entendu Paul grogner de plaisir en jouissant.

 

J attends vos encouragements vos commentaires pour écrire la suite.....


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Jeudi 6 décembre 4 06 /12 /Déc 18:03

Le soleil brille, annonciateur d’une belle journée. La maison est silencieuse. Je me réveille doucement et vais me plonger dans la piscine et commence à faire des longueurs. Je n’ai pas dormi de la nuit. Je ne comprends pas ce qui me pousse à accepter d’être l’objet de leur plaisir, à devenir leur serviteur alors que tant de personne aurait fui.  Je suis inquiet de la suite trouvant que mon ami prend trop d’ascendant sur Karine. En fait je suis jaloux, Jaloux de voir celle que je vénère, aimer Paul. Je comprends qu’elle se donne à lui, j’admets plus difficilement le fait qu’elle s’en amourache.

Je devine que si je me rebelle, Karine le prendra très mal et me quittera…

Absorbé et perdu dans mes pensées, je n’ai pas entendu arriver Paul, qui se jette à l’eau en plongeant. Il s’approche de moi et vient se coller dans mon dos, s’agrippant à mes épaules.

« Ne penses pas trop, Jean. Tu penses trop » J’étais sous le choc. Paul semblait lire en moi comme dans un livre. Je sentais son sexe contre moi, cela me perturbait et me paralysait

« Jean, regardes les choses en face. Tu aimes ta femme. Moi aussi mais pas de la même façon. Elle t’aime car tu lui permets d’être elle-même. Moi, je ne pourrais jamais lui apporter cela. Toi, tu ne la fais plus vibrer sexuellement. Moi si, et je le fais avec amour, car j’aime Karine, et ce depuis que je l’ai vu la première fois. Nous allons vivre ton fantasme, notre désir  jusqu’au bout. Je vous aime tous les deux. Nous allons faire ménage à trois. Nous irons ensemble en vacances…je ne viens pas emménager chez vous à cause de mon travail, mais, j y serais souvent. C’est moi le chef de cette famille. Tu peux toujours dire non et réfléchir. Tu sais que Karine ne le supportera pas bien….ni moi, car je t’aime aussi à ma façon ».

J’étais perturbé, anéanti. Je ne savais plus où j’en étais. Je savais que Paul avait raison. J’étais effrayé par le quand dira t on. Savoir que Paul agirait comme son mari, me perturbais…et pourtant mon sexe trahissait un émoi autre.

Paul se frottait de plus en plus contre moi. Je ne pouvais plus ignorer la protubérance entre mes fesses, ni son souffle chaud dans mon cou.

« Dis moi que tu me veux en toi, dis moi que tu veux que je reste »

Paul me poussait contre le bord de la piscine. Son sexe se faisait de plus en plus intrusif. Mon cœur battait la chamade. Je lâchais prise avec la raison. Sans plus réfléchir, comme si mon destin était scellé, je lui demandais de me prendre dans un murmure.  Il me demanda de le dire à voix haute. Je m’exécutais.

 « Non dis le plus fort » m’ordonna Paul

« Je veux que tu me pénètres, je veux devenir ta deuxième femme. Je veux que tu restes. Sois mon Maître »

« C’est bien, ma petite. Maintenant, guides moi en toi »

Je saisis son sexe bandé et l’approcha de mon œillet. Paul poussait pendant que j’écartais au maximum mes fesses. Il gagnait centimètre par centimètre, sur de sa conquête, de sa victoire.

Lorsque ses couilles tapèrent mes fesses, il s’immobilisa pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. La douleur était forte mais progressivement laissait place à une langueur inqualifiable.  Il commença à remuer lentement, puis de plus en plus vite.

J’ai senti sa jouissance, ce sexe qui se gonfle avant d’éjaculer. Paul se déversa en long spasme. Il se retira doucement me fit me retourner et m’embrassa sur la bouche. Mettant fin à l’étreinte, Karine applaudit à la fenêtre de la chambre.

«  Vous étiez superbes mes chéris, j’arrive ».

Karine, toute en beauté s’installa sur un fauteuil. Elle nous félicita de la performance mais voulait être récompensée aussi.

Elle me montra la clé de la cage de chasteté.

«  Enlèves ta cage, et tournes toi, Penches toi bien en avant. Hum  ton trou est bien élargi, plein de sperme. Je vais pouvoir promener mes doigts sur ta prostate et tu vas couler.

Je m’appuyais le torse sur la table, les jambes écartées. Mon sexe en érection au bord de la table pointait vers le sol. Karine enfila deux doigts. Le sperme de Paul servant de lubrifiant, elle me faisait un doux massage de ma prostate. Paul, le sexe en berne pour le moment, avait enfouit sa tête entre les jambes de notre femme commune. Il s’appliquait avec succès, à en croire les soupirs d’aise de Karine.

J’avertis Karine que j’allais me vider. Le milking procure ce sentiment étrange d’avoir l’impression de se vider du sperme sans jouir. Votre sexe coule mais sans avoir d’orgasme. Les derniers événements sans jouir avaient générés une production importante de sperme que Karine recueillait dans un verre à pied.

Karine jouit fort peu de temps après. Je me redressais pour mieux la voir, l’admirer.

Karine reput tendit le verre. « Nous allons tous en boire pour sceller notre union ». Elle trempa ses lèvres. Paul en fit autant me tendant le verre à finir qui contenait encore plus des ¾ du liquide.

La messe était dite….luxure-034.jpg

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Mercredi 5 décembre 3 05 /12 /Déc 08:53

Mon ami se découvre des talents d’amant et de MaîtreDSC 4001

Paul m’ordonna de préparer le repas. C’est donc complètement nu, que je m’exécutais, tandis que les deux amants sirotaient leur cocktail. Paul ne cessait de caresser ma belle et l’embrassait partout, déposant des baisers, entre les seins ou dans le cou.

Le repas préparé, je les conviais à venir à table. Je m’assis en face de Karine, Paul à ma droite. Paul m’interpella

« Que fais-tu là ? Ta place n’est pas avec nous. » Dit- il en prenant mon assiette et en la déposant par terre. «  Allez, tu mangeras dans ta gamelle. Sois heureux de manger à mes pieds »

 « Obéis lui, stp » me demanda gentiment mon épouse

Fou d’humiliation, je me mis à genou. Paul, sur de lui, me posait un pied sur la tête pour me tenir allongé au sol.

J’essayais de manger dans mon assiette. J’étais maladroit car sans couvert, cela est difficile, selon ce que l’on mange.

Paul badinait pendant le repas. Je n’étais autorisé à me lever que pour servir les plats. L’heure avançant, mon ami se faisait plus précis sur les questions concernant la sexualité de notre couple.

Il proposa que je porte un collier avec laisse, tant que je serais à la maison. Karine lui proposa que je porte aussi  un plug. Les yeux de Paul s’illuminèrent d’un regard prometteur en acquiesçant.  Sans aucune forme de sommation, il m’ordonna : « suces moi. Je dois être beau pour Karine »

Je quémandais du regard, l’approbation de mon épouse. Elle semblait beaucoup s’amuser de cette situation. « Ne t’inquiètes pas pour moi, petit cocu, je n’ai pas arrêté de sucer ton ami. J’ai un peul mal à la mâchoire. Vas y prépares moi le. Je veux sentir sa bite bien dure en moi. Il me fait si bien jouir. Appliques toi bien pendant que je vais me préparer pour l’accueillir dans ma petite chatte »

Karine s’absenta. Je débraguettais mon ami et sortait son sexe mou de son caleçon. Lentement, je déposais des baisers sur sa queue avant de la prendre en bouche. Son sexe reprenait du volume. Première fois que je vivais ce changement de morphologie dans la bouche.

Paul avait une belle érection quand Karine revint avec un sac contenant nos accessoires de jeux sm; cordes, bandeau, plug pinces, etc…

Karine me tendit un plug en acier et m’ordonna de me l’enfoncer

Je m’empressais de le lubrifier. Déposant le plug sur le sol, je m’assis dessus faisant pénétrer lentement l’objet entre mes reins. Je poussais pour aider la pénétration. Pendant ce temps Karine me mettait un collier autour du cou, des pinces aux seins.

Son amant, goguenard me traitait de petite pute, accentuant ainsi mon humiliation et mon asservissement.

Après le  dernier renflement du plug passé, Paul voulut s’assurer qu’il était bien positionné. Il me fit mettre à 4 pattes et m’obligea à tendre mes fesses.

-          « Trop petit ce plug » dit il. Il le sortit vite et présenta son sexe contre mon œillet. « Au moins tu pourras savoir ce que ta femme ressent »

Il s’enfonça  d’un coup, ignorant ma douleur. Heureusement que le plug avait préparé le terrain. Il commença à me pilonner avec vigueur. Après 5 mn du traitement, il décula, prétextant qu’il voulait tout garder pour ma femme. Il commentait avec mépris le fait que je bande énormément et que j’aille à la rencontre de ses coups de queue

Paul fouilla dans le sac et sortit un plug, ressemblant au sexe moulé très bien doté. Il me le brandit sous les yeux. Il m’ordonna de me l’enfoncer sans perdre de temps

Karine s’amusait de plus en plus du spectacle.

L’anus bien travaillé, je réussis en me tortillant à m’enfoncer le plug au fond. Paul me fit me trainer jusqu’au salon. Le plug dans les fesses me faisait mal. Je bandais comme un fou dans cette cage, dégoulinant comme une limace.  Karine tendit une corde à Paul, qui entreprit de m’attacher.

Mon épouse me fit un baiser et me mit le bandeau sur les yeux.

Paul lui ordonna de venir la rejoindre, d’un ton si autoritaire que je ne compris pas pourquoi ma belle s’exécutait si rapidement.

Je n’entendais que les discours essayant d’imaginer la scène.

Mon ami traitait ma femme, sans qu’elle réagisse,  de salope qui aime le sexe, de cochonne, de perverse. Je dois avouer que les bruits de succions me laissait imaginer que ma femme devait avoir la bouche pleine, bien trop occupé à sucer ce sexe qu’elle désirait en elle, pour pouvoir répondre.

Je l’ai entendu, changer de position. J’ai entendu ma femme jouir plusieurs fois, implorer son amant de la prendre plus fort.

Je me suis moqué intérieurement, des cris de bucheron de Paul déversant sa semence.

L’érection contenue dans la cage me fait de plus en plus mal. J’aimerais tant jouir. Je coule abondamment comme si j’avais des pertes….

Ils ont fait l’amour plusieurs fois avant de me détacher. Ils sont partis se coucher m’obligeant à tout ranger, débarrasser la table et préparer le petit déjeuner.

Karine, vient me faire un doux baiser. Elle me jura qu’elle m’aimait que ceci n’était qu’un jeu et que pour me remercier, demain matin, ils me feront un milking….

Par cocusuissege - Publié dans : Cocu par un ami - Communauté : Le club des cocus...
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